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On connaît le thème des JMJ de 2027 à Séoul. Et c’est un sacré programme !

“Prenez courage ! Moi, j'ai vaincu le monde.” Le pape François a dévoilé fin septembre le thème des prochaines Journées mondiales de la jeunesse (JMJ) qui se tiendront à Séoul (Corée du Sud) en 2027. Un programme sacrément dynamique et audacieux ! Prenez courage ! Moi, j'ai vaincu le monde" (Jn 16,33). Le thème des Journées mondiales de la jeunesse (JMJ) 2027 qui se tiendront à Séoul (Corée du Sud) annoncé fin septembre par le pape François est un savant condensé d'audace et de foi. François avait conclu les JMJ de Lisbonne en appelant la jeunesse à se mettre en route. Invités à porter l’espérance lors du jubilé de Rome en 2025, les jeunes seront cette fois-ci appelés à devenir les témoins de la Résurrection à Séoul pour la 41e édition des JMJ. Ce thème est un appel à s'enraciner dans l’Espérance de la Résurrection où la victoire est déjà acquise, celle du sacrifice du Christ sur la croix pour le salut des hommes. Un programme audacieux, à la lumière de l’histoire coréenne Rare terre à s’être évangélisée elle-même à travers la découverte et la diffusion d’ouvrages sur le christianisme, l’Église de Corée est aussi marquée par l’histoire de ses martyres, et parmi eux, saint André Kim Taegon, premier prêtre de Corée et modèle de foi pour les catholiques coréens. Un pays qui n’a pas fini de nous étonner donc, à commencer par le logo qui incarne cet audacieux et courageux chemin missionnaire ! Une croix inspirée de l’art traditionnel coréen accompagnée de deux coups de pinceau : l’un vers le haut et l’autre vers le bas. Une manière de représenter le lien entre le ciel et la terre pour symboliser l’accomplissement de la volonté de Dieu. Photo et texte extraits de Aleteia  

7 octobre : fête de Notre-Dame du Rosaire

Notre-Dame du Rosaire est fêtée le 7 octobre. Née du souvenir d’une victoire militaire chrétienne, cette fête devint un moment fondamental dans le culte de la Sainte Vierge et dans la pratique du Rosaire. Octobre est le mois du Rosaire et il est impossible d’en parler sans nous attarder sur la figure de la Sainte Vierge, qui est symbole et inspiratrice de cette dévotion tant aimée. En effet, ce fut elle-même qui donna en 1208 le premier Rosaire à Saint Dominique de Guzmán, père fondateur des frères dominicains, en le désignant comme l’arme la plus efficace contre les hérésies et comme instrument de foi et de conversion non violente. Notre-Dame du Rosaire est devenue avec le temps une des représentations les plus récurrentes de la Vierge Marie, surtout après la Contreréforme. L’apparition à Saint Dominique a également été à l’origine du culte de Notre-Dame du Rosaire, rappelée par l’Église le 7 octobre, jour durant lequel, en 1571, eut lieu la Bataille de Lépante, où la flotte de la Sainte Ligue vainquit celle de l’Empire Ottoman. De Notre-Dame de la Victoire à Notre-Dame du Rosaire La fête de Notre-Dame du Rosaire du 7 octobre est en réalité une évolution de la fête de Notre-Dame de la Victoire, instituée le même jour par pape Pie V en tant que souvenir et célébration de la victoire de la Sainte Ligue composée par Venise, l’Espagne et les États pontificaux contre l’Empire Ottoman. La bataille eut lieu le 7 octobre 1571 et, à cette occasion, selon la légende, pape Pie V recommanda à toutes les forces armées chrétiennes de réciter le Rosaire avant de commencer le combat. Pour cette raison, il était si certain de la victoire, qu’il donna l’ordre de sonner les cloches avant même que la bataille ne fût terminée, afin d’annoncer que les chrétiens avaient gagné. Ils gagnèrent en effet, et attribuèrent la victoire à la Sainte Vierge et à son aimable intercession. Depuis lors, le 7 octobre fut consacré à Notre-Dame de la Victoire. Le successeur de Pie V, Pape Grégoire XIII modifia la dédicace en Notre-Dame du Rosaire. Photo et texte extraits de holyart.fr 

“Je suis avec vous” : la lettre pleine de tendresse de François aux chrétiens du Moyen-Orient

"J’ai dans le cœur une chose que je veux vous dire (...) : je suis proche de vous, je suis avec vous." Dans une lettre adressée aux catholiques du Moyen-Orient, un an après le début du conflit en Terre sainte, le pape François a tenu à redire sa tendresse et sa compassion pour son peuple éprouvé par la guerre. "Il y a un an, la mèche de la haine a été allumée". C'est en ces mots que le pape François s'est adressé aux catholiques du Moyen-Orient le 7 octobre 2024, un an après l’attaque meurtrière du Hamas contre Israël, qui a déclenché l’embrasement de toute la région. En cette occasion, le pape François a tenu à écrire à ses fidèles une lettre marquée d'une grande tendresse, les assurant de sa prière "en ce triste jour". "Il y a un an, la mèche de la haine a été allumée ; elle ne s’est pas éteinte, mais s’est embrasée dans une spirale de violence", déplore notamment le pape François. "Le sang coule, les larmes aussi, la colère augmente, tout comme le désir de vengeance", s’attriste-t-il encore, avant de remercier ses fidèles, "petit troupeau sans défense", d’être restés sur leurs terres. Et de pointer du doigt, sans mâcher ses mots, "l’incapacité honteuse de la communauté internationale et des pays les plus puissants à faire taire les armes et à mettre fin à la tragédie de la guerre". "Je suis avec vous, qui êtes obligés de quitter vos maisons, d’abandonner l’école et le travail, d’errer à la recherche d’une destination pour échapper aux bombes. Je suis avec vous, mères qui versez des larmes en regardant vos enfants morts ou blessés", a assuré le Pape, qui enjoint également les catholiques du monde entier à participer à la Journée de prière et de jeûne pour la paix, instituée ce 7 octobre. Le Pape a lui-même récité le rosaire pour la Paix en la basilique Sainte-Marie-Majeure. Le dicastère du Saint-Siège pour le Service de la charité a quant à lui annoncé l’organisation d’une collecte pour les victimes de Gaza, auprès des membres du Synode en cours. Photo et texte extraits de Aleteia  

Allez et invitez tout le monde à la noce (cf. Mt 22, 9)

Chers frères et sœurs ! Pour la Journée Mondiale des Missions de cette année, j’ai choisi comme thème la parabole évangélique des noces (cf. Mt 22, 1-14). Vaste sujet que celui de l’évangélisation ! S’il s’agit là de la mission confiée à chaque baptisé que d’annoncer l’Évangile, elle demeure bien souvent vague et lointaine. Alors, pour la faire plus proche de nous, les Œuvres Pontificales Missionnaires (OPM) sont chargées par le Pape d’organiser du 13 au 20 octobre la Semaine missionnaire mondiale. Et pour vivre pleinement l’événement, les OPM ont réalisé une courte vidéo d’un peu plus de deux minutes intitulée "7 jours pour être missionnaires ensemble". On y apprend notamment comment la bienheureuse Pauline Jaricot a fondé à Lyon en 1822 l’association de la Propagation de la Foi, à l’origine du plus grand mouvement de soutien des missions, aujourd’hui les OPM. "Cette œuvre au service de la mission universelle se répandra dans le monde entier et, rattachée au Saint-Siège, deviendra les OPM : les Œuvres Pontificales Missionnaires", y explique Francisque de Bantel, responsable de l’animation et de la communication aux OPM en France. Aujourd’hui, les OPM sont présentes dans 140 pays et soutiennent près de 1.100 diocèses à travers le monde, soit plus d’un tiers des diocèses, et financent la formation de quelque 220.000 catéchistes chaque année ainsi que de 80.000 séminaristes "qui seront nos prêtres de demain". Photo et texte extraits de OPM les Œuvres Pontificales Missionnaires  Photo Diocèse de Sens & Auxerre

Mission, synode, patrimoine, abus…un programme dense pour les évêques de France

La traditionnelle assemblée plénière d’automne de la Conférence des évêques de France débute de mardi 5 novembre à Lourdes. Les échanges porteront notamment sur la mission à l’Enseignement catholique et les questions financières. Les thèmes des abus, de la réception du synode et du patrimoine religieux devraient retenir l’attention. Chaque automne, la semaine qui suit la Toussaint, la Conférence des évêques de France (CEF) tient à Lourdes une assemblée plénière. Entre le 5 et le 10 novembre, la centaine d’évêques qui sont à la tête des diocèses de France aura un programme dense. Entre les traditionnels discours d’ouverture et de clôture du président, Mgr Éric de Moulins-Beaufort, il sera question de la situation en Ukraine, des séminaires, du budget 2025 de la CEF, de l’Enseignement catholique, d’informatique et de numérique… Les "enjeux missionnaires" occuperont une large place, avec l’intervention du pasteur Krieger, président de la Fédération protestante de France (FPF) et de Mgr Shevkchuk, primat de l’Église gréco-catholique ukrainienne. Le lendemain, mercredi, les interventions d’évêques africains, dont le cardinal Ambongo, membre du C9 et président du Symposium des Conférences des Évêques d’Afrique et de Madagascar (SCEAM), sera une manière à la fois d’évoquer la mission et de manifester la "communion universelle" de l’Église. À vrai dire, trois sujets devraient principalement retenir l’attention. D’abord, en résonance avec l’actualité romaine, le Synode sur la synodalité . Mercredi matin, l’assemblée entendra le "retour d’expérience" de la délégation française (le cardinal Aveline, Mgrs Rougé, Bertrand, Eychenne et Joly et Anne Ferrand, o.v.). L’occasion de revivre de l’intérieur ces quatre semaines de "conversation dans l’esprit" et de discussions et de comprendre les conclusions du Document final publié le 26 octobre et approuvé par le pape François et ses conséquences pour l’Église de France. Abus et patrimoine Ensuite, commencés en septembre 2023, les États généraux du Patrimoine religieux (EGPR) en France vont voir leur aboutissement samedi 9 novembre. Imaginés pour "regarder", "interroger" et "valoriser", ils donneront lieu à un répertoire complet des 100.000 édifices religieux de l’Hexagone et à des propositions qui seront discutées par les évêques pour donner des suites au travail mené par une équipe de la CEF en lien avec les associations de préservation du patrimoine et les pouvoirs publics propriétaires des églises construites avant 1905 (communes) et des cathédrales (État). Enfin, sujet récurrent pour l’Église de France depuis la mise en place de la Commission Indépendante sur les Abus Sexuels dans l’Église (CIASE) en 2019, l’assemblée se penchera sur les abus. Spécificité cette fois-ci : l’angle choisi est celui des abus sexuels sur personnes majeures, laissé en jachère depuis le vote de résolutions en mars dernier. Dans la continuité des abus sur mineurs, il s’agit d’étudier la prévention et la réparation des victimes majeures à partir des travaux d’un groupe animé par Corinne Boilley. Les évêques travailleront sur ce sujet délicat jeudi 7 novembre après-midi et le lendemain matin. Photo et texte extraits de Aleteia  

Le mois d’août, une occasion de vivre les vertus de l’Assomption

Depuis le 8e siècle, le mois d’août dans la tradition catholique est particulièrement consacré à la Vierge Marie. Pour le père Hyppolite Agnigori, professeur d’Histoire de l’Église à l’ITCJ à Abidjan en Côte d’Ivoire, cette période est une occasion pour les fidèles catholiques d’apprendre à vivre davantage les vertus qui caractérisent la Vierge Marie, tel que la prière, l’obéissance et le don de soi. La consécration du mois d’août à la Vierge Marie naît d’un héritage chrétien oriental bien avant d’être étendue à l’Église universelle. En effet en Orient, après l’invasion de Rome par les peuples nordiques (appelés barbares au Ve siècle), l’année liturgique « s’ouvre » quasiment avec le 8 septembre–fête de la naissance de Marie et « s’achève » le 15 août, fête de son retour à Dieu. Comme souvent, à cette époque, l’Église de Rome est en retard sur l’Église de Constantinople : la consécration du mois d’août à Marie dans l’Église entière fut instaurée au 8e siècle par le Pape Serge 1er (687 – 701), lui-même d’origine syriaque. Dans un entretien accordé à Vatican News, le père ivoirien Hyppolite Agnigori, curé de la paroisse Saint-Jean Paul II dans l’archidiocèse d’Abidjan et professeur d’histoire de l’Église à l’Institut de Théologie de la compagnie de Jésus d’Abidjan, ITCJ, souligne la particularité du mois d’août pour les fidèles catholiques. Quelle est la spécificité du mois d’août ? La spécificité de ce mois, c’est qu’il draine deux solennités qui éclairent convenablement notre foi chrétienne : la Transfiguration de notre Seigneur Jésus-Christ le 06 août et l’Assomption de la Vierge Marie célébrée le 15 août. À la Transfiguration : Jésus emmène avec lui sur la montagne trois de ces apôtres (Pierre, Jacques et Jean) et il leur révèle sa gloire divine, splendeur de Vérité et d’Amour. Jésus veut que cette lumière puisse éclairer leur cœur, quand ils traverseront l’obscurité profonde de la passion et de la mort. Dieu est lumière, et Jésus veut offrir à ses amis les plus intimes l’expérience de cette lumière, qui demeure en Lui. Et la Vierge Marie, nous le savons, par son oui, son Fiat, elle s’ouvrit à l’amour de Dieu et précisa sa foi de servante du Seigneur. Elle devint donc intime de Dieu, amie de Dieu et Mère de Dieu. En ce qui concerne la solennité de l’Assomption (du latin Assumere) qui signifie monter en se faisant aider, à la différence de (Ascensio) qui donna le terme Ascension qui signifie monter avec les prérogatives divines, célèbre la dépendance mariale au Fils de Dieu qui lui accorde une telle grâce. La solennité de la transfiguration du Seigneur n’est qu’un tremplin essentiel pour éclairer convenablement la solennité de l’Assomption de la Vierge Marie. Célébrée le 15 août, elle commémore la gloire de Marie avec Dieu au terme de sa vie terrestre. Marie a été enlevée par Dieu de la vie terrestre pour entrer dans la vie en Dieu. Pour Marie, l’Assomption est la suite de sa participation à la vie de Jésus. L’Assomption, est donc l’élévation au ciel de la Vierge Marie qui quitte notre monde sans avoir connu la corruption de la mort. Voulue par Dieu, elle rejoint pour l’éternité son Fils Jésus, ressuscité. « Élevée en corps et en âme dans la gloire du ciel » (Pape Pie XII), Marie nous précède dans la joie du royaume de Dieu et nous rappelle par sa vie ce à quoi nous sommes tous appelés : accueillir le don de Dieu dans notre vie, célébrer cette force de Dieu qui élève les humbles et rabaisse les puissants. Marie nous aide à comprendre qui est le Christ (Fils de Dieu et Dieu). Texte et photo extraits de Vatican News  

Plus de 120 millions de déplacés dans le monde, un nombre record selon l’ONU

Record à l’échelle mondiale et également la douzième augmentation annuelle consécutive. Le monde comptait un nombre record de 120 millions de déplacés de force à la fin avril, a dévoilé jeudi 13 juin le Haut-Commissariat pour les réfugiés (HCR) dans son rapport annuel. Selon l’agence onusienne, cette augmentation est le résultat des guerres qui font rage à Gaza, au Soudan ou en Birmanie. Le rapport annuel pour l’année 2023 présente les principales tendances statistiques en matière de déplacement forcé. Il comprend les dernières statistiques officielles sur les réfugiés, les demandeurs d’asile, les personnes déplacées à l’intérieur de leur pays et les apatrides, ainsi que le nombre de réfugiés qui sont rentrés chez eux. Texte extrait de Lacroix  Elie Guidi, le 13/06/2024  

Participation du Pape François au sommet du G7 à Borgo Egnazia

Je m’adresse à vous aujourd’hui, dirigeants du Forum intergouvernemental du G7, pour vous présenter une réflexion sur les effets de l’intelligence artificielle sur l’avenir de l’humanité. Texte et vidéo extraits Vatican Le Saint-Siège « L’Écriture Sainte témoigne que Dieu a donné aux hommes son Esprit pour qu’ils aient “la sagesse, l’intelligence et la connaissance de toutes sortes de travaux” (Ex 35, 31) ». La science et la technologie sont donc les produits extraordinaires du potentiel créatif des êtres humains. Or c’est précisément l’utilisation de ce potentiel créatif donné par Dieu qui est à l’origine de l’intelligence artificielle. Cette dernière, comme on le sait, est un outil extrêmement puissant, utilisé dans de nombreux domaines de l’activité humaine : de la médecine au monde du travail, de la culture à la communication, de l’éducation à la politique. Et l’on peut désormais supposer que son utilisation influencera de plus en plus notre mode de vie, nos relations sociales et même, à l’avenir, la manière dont nous concevons notre identité en tant qu’êtres humains.  

Pologne : Un martyr du communisme béatifié

  Samedi 15 juin 2024, la messe de béatification du P. Michał Rapacz (1904-1946) a été célébrée dans le Sanctuaire de la Miséricorde divine de Kraków-Łagiewniki, en Pologne. Elle a été présidée par le cardinal Marcello Semeraro, préfet du Dicastère pour les causes des saints. Texte et photo extraits de Zenit Prêtre polonais, assassiné en 1946 par les communistes, le P. Michał Rapacz est un symbole de foi et de résistance à l’oppression. Doté d’un grand zèle pastoral, il était aussi un homme de prière et un chercheur de vérité. Il a fait confiance à Dieu toute sa vie, jusqu’au martyre.  

105 nouveaux prêtres ordonnés pour la France en 2024

Répondre aux attentes spirituelles de notre temps. La grande majorité des ordinations de prêtres, en France, se déroulent au mois de juin, en particulier le dimanche qui précède la solennité des apôtres saint Pierre et saint Paul, colonnes de l’Église, fêtés le 29 juin.  « L’enquête « Catéchuménat » de la CEF nous l’a encore rappelé en mars 2024 : chaque année, ils sont plus nombreux, ces jeunes et moins jeunes qui désirent recevoir le baptême, l’eucharistie, la confirmation. Dans les cités étudiantes, c’est très clair. Dans les diocèses plus ruraux, comme celui d’Auch que j’ai la joie de conduire, nous sommes aussi heureusement surpris par tous les enfants, jeunes et adultes qui se tournent vers l’Église pour demander un sacrement. Les prêtres ordonnés cette année sont de leur temps. Ils ont grandi et mûri avec ceux qu’ils accompagnent dans leur vie spirituelle. Ces démarches sacramentelles sont nourrissantes pour ceux qui les demandent, elles le sont aussi pour ceux qui confèrent les sacrements. Une vie pastorale centrée sur les sacrements, ou les sacramentaux, comporte une intensité théologale stimulante pour l’exercice du ministère presbytéral. Elle parle au cœur. Cette préparation n’est pas un face-à-face entre prêtre et catéchumène, ou tout autre personne sollicitant un sacrement. C’est un riche moment de préparation, puis de déploiement, avec une équipe de chrétiens de diverses vocations, missions et états : laïcs, religieux, diacres, jeunes et aînés… » Texte extrait de ZENIT  

Les enfants, premières victimes des violences en Haïti.

  Alors que la mission internationale de sécurité, pilotée par le Kenya, commence son déploiement à Haïti, plusieurs organisations s'inquiètent de l'impact des violences sur les enfants et demandent que soient renforcées les mesures en faveur de leur protection. Alors que la mission internationale de sécurité s'installe en Haïti, dirigée par la police kényane, plusieurs organisations s'inquiètent de l'impact de la violence sur les enfants. Ainsi, Amnesty International rappelle qu’il est impératif de veiller à ce que la mission établisse des garanties pour prévenir les violations des droits humains et forme son personnel en matière de protection des enfants en particulier. «Il est préoccupant que le déploiement du contingent de policiers kényans en Haïti se poursuive, en l’absence d’informations transparentes sur la question de savoir si et comment il va mettre en œuvre les garanties en matière de droits humains», souligne dans un communiqué Ana Piquer, directrice pour les Amériques à Amnesty. Texte et photo extraits de Vatican News   1 commentaire

Établissement Français du Sang : Sensibilisation don de sang, plasma, plaquettes

   Sensibilisation don de sang, plasma, plaquettes. « La région PACA est une région où nous consommons énormément de produits sanguins mais nous n’arrivons pas à collecter suffisamment. Nous dépendons donc de la générosité des autres régions pour soigner les malades et accidentés. Or, cette année, est une année particulière, car la région Ile de France ne va pouvoir collecter comme à son habitude en raison des Jeux olympiques et paralympiques. De plus, la période estivale marque une baisse de mobilisation des donneurs alors que les besoins, eux, sont en constante augmentation.  Maison du don 3 rue Galléan, 06000 Nice Ouverte tous les jours du lundi au samedi. 9h30 – 16h30 non-stop, sauf le jeudi de 11h à 18h. Les collations et repas sont évidemment toujours en vigueur pour nos précieux donneurs. » Texte et photo produits par Établissement Français du Sang