Notre fils Pierre, très malade depuis fin décembre 2016, a été hospitalisé et on lui a diagnostiqué une cirrhose métabolique. Chaque semaine nous allions le voir et, voyant son état se dégrader, nous rentrions complètement désemparés et désespérés. Nous avions demandé sans succès son transfert à l’Hôpital de la Croix-Rousse où nous savions qu’il y avait un service de pointe pour les problèmes hépatiques.
Je dois dire qu’il y a environ un mois et demi, notre fils était mourant, complètement dénutri, il avait perdu plus de 30 kilos… Devant son état, nous avons eu un entretien assez vif avec un interne qui nous a dit qu’il serait transféré à la Croix-Rousse, en service réanimation, lorsque cela serait nécessaire. Pourtant, ma belle-fille avait été avisée qu’elle risquait d’être appelée la nuit même car son état s’aggravait… Le lendemain, Pierre a été transféré en soins intensifs à la Croix-Rousse.
Quelques examens complémentaires ont établi un nouveau diagnostic : notre fils ne souffrait pas d’une cirrhose mais d’une malformation sans doute congénitale – une artère coudée au lieu d’être droite – et qui faisait qu’avec le temps la circulation des liquides dans son corps ne se faisait plus, car tout était bouché. Tous les 4 à 5 jours, il fallait le ponctionner de 8, 9 et même 10 litres d’ascite. Cette masse de liquide dans son abdomen écrasait le foie qui avait de plus en plus de mal à fonctionner.
Cette malformation a donc nécessité une intervention chirurgicale visant à supprimer cette artère coudée ainsi qu’un morceau de côlon sur lequel elle s’était collée. Opération très délicate dont on n’était pas sûr de tout du résultat, vu son état physique. Il n’a pas été opéré tout de suite, il fallait avant le fortifier un peu.
Je ne pouvais rien faire d’autre que prier, prier, prier. J’ai fait une neuvaine à Sainte Rita en qui j’ai une grande confiance. Je dois dire aussi, pour être honnête, que j’ai également prié « Marie qui défait les nœuds ». Je crois que ces deux bienfaitrices ont conjugué leurs demandes à Dieu pour guérir notre Pierre.
Je pense que Dieu a guidé la main du chirurgien. Lorsque nous l’avons rencontré, il nous a dit que notre fils revenait de très loin et qu’il fallait qu’il soit vraiment « costaud » pour s’en être sorti.
Moi je sais pourquoi Pierre s’en est sorti !
Voilà, je tenais à vous informer de ce don de Dieu, en réponse à la demande de Sainte Rita et de « Marie qui défait les nœuds ». Quand on est si près du malheur, on s’adresse à tous les saints !
Monique
Le secrétaire d'État du Saint-Siège, envoyé par le Pape en Ukraine, a présidé la messe au sanctuaire marial de Berdytchiv, à 150 kilomètres de Kiev. Il a conseillé aux fidèles de «ne pas perdre la foi même s'il semble que le mal ait le dessus ». Le cardinal Parolin a aussi exhorté l'Église à prier sans cesse « pour que Dieu convertisse les cœurs de ceux qui, s'étant éloignés de ses voies et devenus esclaves de leur propre orgueil, sèment la violence et la mort, piétinant la dignité des enfants.
Le cardinal Pietro Parolin se fait l'écho de l'appel à la paix du Pape et du peuple ukrainien depuis le sanctuaire de Notre-Dame du Mont Carmel à Berdytchiv, l'un des centres spirituels de la communauté catholique du pays, cher à ceux qui professent le rite latin et qui concluent les célébrations de leur pèlerinage.
L'histoire du sanctuaire
« Rien n'est impossible à Dieu, a répété le représentant du Vatican, rassurant les fidèles que le Pape est proche et partage la douleur des Ukrainiens à qui il tend « son étreinte paternelle ». L’homélie prononcée presque entièrement en ukrainien par Mgr Edward Kawa, auxiliaire de l'archidiocèse de Lviv des Latins -à l'exception de la salutation initiale et de la prière finale à Notre-Dame du Mont Carmel récitée par le cardinal Parolin- a fait mémoire du premier miracle qui a marqué l'histoire de ce lieu de culte.
Mettre à la place d'un cœur de pierre un cœur de chair
Les événements relatés dans la première lecture, tirée du premier livre des Rois, l'épisode connu comme le sacrifice du prophète Élie sur le mont Carmel, sont racontés à nouveau. À la lumière de ce récit, l'Église ukrainienne doit être « prophétique ».
Quand il n'y a plus de force pour prier, faire confiance à Dieu
«Ne perdez jamais la confiance et l'espérance en Dieu, surtout aujourd'hui, quand il semble que le mal ait le dessus, quand les horreurs de la guerre, la douleur des nombreuses victimes et les destructions massives sapent la foi en la bonté divine, quand les bras nous tombent et que nous n'avons même plus la force de prier».
Textes et photo extraits de VATICAN NEWS
Revoir l'intégralité de l'Angélus du 21 juillet 2024
L’alliance du cœur et de la lenteur. Avant de réciter la prière mariale de l’Angélus, dimanche 21 juillet, place Saint-Pierre, le Pape a exhorté chacun à cultiver son désert intérieur au milieu du bruit et de l’affairisme quotidiens. Seule manière selon lui d’être présent pour son prochain, sous le regard de Dieu.
« Venez à l’écart dans un endroit désert, et reposez-vous un peu ». Méditant sur l’Évangile selon saint Marc de ce dimanche 21 juillet, qui reflète la compassion de Jésus devant la foule qui l’attendait « comme des brebis sans berger », le Souverain pontife est revenu sur ce binôme en apparence « inconciliable » formé par le repos et la compassion.
La compassion ne s'éprouve que le cœur reposé
Ce repos proposé par Jésus n'est pas une fuite du monde ou une retraite dans le bien-être personnel, a précisé le Successeur de Pierre, au contraire, face aux personnes perdues, il éprouve de la compassion. L'Évangile nous apprend donc que ces deux réalités -repos et compassion- sont liées : « ce n'est que si nous apprenons à nous reposer que nous pourrons avoir de la compassion ».
“Ce n'est que si nous apprenons à nous reposer que nous pourrons avoir de la compassion.”
Un tête-à-tête entre Dieu et soi-même
Et l’évêque de Rome d’interpeller fidèles et pèlerins de ce mois de juillet : « Est-ce que je sais m'arrêter au cours de ma journée ? Est-ce que je sais prendre un moment pour être avec moi-même et avec le Seigneur, ou est-ce que je suis toujours pris dans la course des choses à faire ?» En cette période estivale, François a donc exhorté chacun à trouver un peu de « désert » intérieur au milieu du bruit et des activités quotidiennes.
Textes et photo extraits de VATICAN NEWS
Sensibilisation don de sang, plasma, plaquettes.
« La région PACA est une région où nous consommons énormément de produits sanguins mais nous n’arrivons pas à collecter suffisamment.
Nous dépendons donc de la générosité des autres régions pour soigner les malades et accidentés.
Or, cette année, est une année particulière, car la région Ile de France ne va pouvoir collecter comme à son habitude en raison des Jeux olympiques et paralympiques.
De plus, la période estivale marque une baisse de mobilisation des donneurs alors que les besoins, eux, sont en constante augmentation.
Maison du don 3 rue Galléan, 06000 Nice
Ouverte tous les jours du lundi au samedi. 9h30 – 16h30 non-stop, sauf le jeudi de 11h à 18h.
Les collations et repas sont évidemment toujours en vigueur pour nos précieux donneurs. »
Texte et photo produits par Établissement Français du Sang
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Le 22 mai de chaque année, nous célébrons la fête de Sainte Rita. Un reportage a été consacré à la fresque décorant un pan de mur de l'Oratoire de l'Église.
Sophie a rencontré Marianne Hervy auteure de ce quadriptyque relatant les épisodes de la « Sainte Patronne des causes perdues et des causes désespérées ».
Le reportage complet est à retrouver dans la Revue de Sainte Rita.
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BIENVENUE SUR NOTRE BOUTIQUE SAINTE RITA
Tous nos prix sont indiqués TTC et frais de port compris pour la France métropolitaine, Monaco et Andorre.
Pour les autres destinations, les frais de ports sont en suppléments et sont calculés lorsque vous passez votre commande.
Moi aussi, dans le désespoir, j'ai confié ma peine à Sainte Rita et elle est venue à mon secours. Tous les jours, je la remercie. La prière est mon refuge.