Le Frère Georges Bellino, omv :
50 ans de vie religieuse et de présence
à l’église Sainte Rita de Nice !
Ceux d’entre vous qui sont déjà venu prier à l’église Sainte Rita de Nice, connaissent nécessairement le Frère Georges Bellino. Il y œuvre pratiquement tous les jours depuis cinquante ans ! Animation des chants liturgiques, récitation quotidienne du chapelet, service de l’autel. Mais aussi maintien de la propreté et décoration des autels avec ses magnifiques compositions florales.
Chaque année le Frère Georges confectionne pendant tout le temps de l’Avent la Crèche visitée par des milliers de personnes (vous pouvez la voir sur le Site). « J’y mets tout mon soin, dit-il, parce que c’est véritable évangélisation. »
Avec tout cela le Frère Georges accueille, avec son sourire jovial, les fidèles qui viennent à l’église. Chacun trouve auprès de lui une écoute attentive et empathique et souvent des aides concrètes. Son service humble et joyeux rejoint aussi malades et pauvres du Vieux Nice. Ajoutons enfin à la liste les services que le Frère Georges accomplit pour la Revue Sainte Rita depuis 50 ans. Encore aujourd’hui c’est lui qui ouvre et fait le premier tri des centaines de lettres que l’on reçoit chaque jour.
Né à Turin, en 1945, dans la paroisse tenue par les Oblats, le Frère Georges a émis ses premiers vœux à Pinerolo, berceau de la Congrégation, le 19 mars 1968. Quelques mois plus tard il partait pour Nice où il est resté depuis.
C’est donc avec joie et affection que, ce lundi 19 mars, fête de Saint Joseph, la communauté des Oblats de la Vierge Marie et les fidèles de Sainte Rita ont célébré le Jubilé d’or de la profession religieuse du Frère Georges.
À la célébration étaient présents, outre les membres de la communauté locale, le Père David Nicgorski, Supérieur général des Oblats, le Père François Lapointe, Délégué pour la France, et le Père Ottaviano Pizzamiglio, qui avait accueilli le Frère Georges lors de son arrivée à Nice et qui est resté un ami très cher.
Les fidèles de Sainte Rita et amis du Frère Georges l’ont applaudi longuement après l’homélie du Père Patrice Véraquin, Recteur de la communauté et du Sanctuaire.
Lors du vin d’honneur qui a suivi la messe le Maire de Nice, Monsieur Christian Estrosi, ami proche du Frère Georges, lui a remis la médaille de la ville de Nice ainsi qu'à Monsieur Julien Paulian.
En conclusion le Frère Georges s’est adressé à tous avec ces paroles simples : « Merci de votre amour. Je vous aime aussi. Et je vous dis les mêmes paroles que le Pape François : “priez pour moi” ». C’est ce que nous ferons volontiers !
La beauté intérieure des églises et leurs trésors laissent rarement indifférent, observe notre chroniqueur Jean-Étienne Rime. Un vitrail, une statue ou un chapiteau peuvent créer des liens entre visiteurs avertis et touristes curieux : avec notre concours, l’art sacré peut créer du dialogue et poursuivre son œuvre d’évangélisation.
Cet été, certains sont sportifs, d’autres se contentent de la plage et d’autres encore visitent les merveilles de notre pays avec un appétit culturel évident et beaucoup se partagent entre ces différentes activités. Pour eux, la France offre des lieux d’exploration quasi infinis et les sites, monuments, œuvres d’art issus de notre patrimoine chrétien forment un tout essentiel, inévitable pour les laïques militants, indispensable pour les amateurs d’histoire et d’art. En cette période de vacances alors que du temps se libère, l’art sacré nous parle ainsi que sa raison d’être : l’appel à évangéliser.
L’art religieux nous appelle
Que seraient les paysages d’Europe sans l’art sacré ? Églises, cathédrales ou simples chapelle, dans la moindre commune (ou paroisse) l’on trouve une pietà, une conversion de saint Paul ou une Sainte Famille réalisée par un artiste célèbre ou anonyme. Ouvrons la porte d’un musée et si les thèmes sont variés, l’on ne manquera pas une œuvre religieuse de Rubens, de Courbet — qui pourtant n’était pas très religieux — ou de Matisse. Ces tableaux ou sculptures ont été commandés par des princes de sang ou d’Église, des fidèles de toutes conditions pour honorer des lieux de vie et de prière en les marquant de leur foi avec une œuvre qui dépasse le temps humain.
Aujourd’hui, l’art sacré reste une valeur sûre, achetée à prix d’or dans les maisons de ventes aux enchères et l’on peut même s’étonner de l’engouement du Louvre d’Abu Dhabi pour une représentation du Christ. Plus actuel que jamais, l’art religieux nous nous appelle à poursuivre la démarche de cette foule infinie de mécènes et de créateurs au service du Créateur.
Texte et photos extraits de ALETEIA
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Lors de la messe au Timor oriental, François appelle à s’inspirer des petits.
Environ 600 000 personnes étaient réunies pour assister à la messe présidée par le Pape François à quelques kilomètres de la capitale timoraise ce mardi 10 septembre. Dans son homélie, le Saint-Père a réfléchi sur le plus beau don de Dieu, le don de son fils Jésus à l’humanité, qui invite chacun à se faire petit au milieu des petits.
Sous une chaleur écrasante, à 16h30 heure locale, le Pape a présidé la célébration de l’Eucharistie, entouré par près de la moitié de la population est-timoraise réunie sur la place de Taci Tolu.
Reprenant la première lecture tirée du livre d’Isaïe, le Saint-Père a d’abord médité sur la promesse de ce prophète, la naissance d’un enfant. À l’époque d’Isaïe, a rappelé le Pape, Jérusalem était riche matériellement mais pauvre spirituellement. Dressant un parallèle avec aujourd’hui, François a expliqué que dans un monde « où il y a un grand besoin de conversion, de miséricorde et de guérison », ce ne sont ni les armes, ni les troupes ni l’argent, mais bien la naissance d’un enfant qui vient ouvrir « un avenir d’espérance et de joie »
Dieu se fait proche par un enfant
Ensuite, inspiré par l’Évangile de l’Annonciation lu au cours de la messe, dans lequel Marie apprend qu’elle va devenir la mère du Sauveur, le Saint-Père a évoqué la joie qui existe partout dans le monde lorsqu’un enfant nait. Une joie simple et universelle, qui cache un amour encore plus grand, celui de Dieu, a-t-il assuré.
“La proximité de Dieu passe par un enfant, Dieu se fait enfant, et ce n'est pas pour nous étonner ou nous émouvoir, mais pour nous ouvrir à l'amour du Père et nous laisser façonner par lui, pour qu'Il puisse guérir nos blessures, régler nos différends, mettre de l'ordre dans l'existence.”
Texte et photo extraits de Vatican News
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Tableau de Rosa Sylvia Guibert (1951) Eglise de l'Annonciation Chapelle Sainte Rita, Nice
Sainte Rita, sainte des causes perdues et désespérées, vécut de 1381 à 1457.
Cinq siècles plus tard sa vie continue d’inspirer des millions de personnes à travers le monde. Une vie où se côtoient phénomènes mystiques et simplicité du quotidien, une vie chargée de grandes souffrances mais vécue dans la joie « d’aimer sans compter ».
Jeune fille Rita est déjà toute tournée vers Dieu. Mariée par obligation familiale à un homme rude, elle surmonte par sa douceur et sa patience les difficultés initiales de son mariage. Elle vit dix-huit années de bonheur avec l’homme dont elle aura deux enfants. Elle a 36 ans lorsqu’il est traîtreusement assassiné. Quelques temps plus tard, elle perd ses deux enfants.
Entrée au monastère elle s’immerge dans une intense vie de prière. Son union intime au Christ crucifié se manifeste par le stigmate de l’épine. Elle accueille tous ceux qui viennent demander son aide et sa prière.
Toute la vie de Sainte Rita respire l’amour de Dieu et la confiance totale en sa Providence.
Mourante, Rita demande à sa cousine d’aller lui cueillir une rose. Bien qu’en « plein hiver » la parente trouve la rose. Cet épisode est à l’origine de l’image où l’on voit Sainte Rita répandre des roses, symbole des grâces qu’elle obtient pour ceux et celles qui font confiance en l’intercession de « la sainte des causes désespérées et des cas impossibles. »
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BIENVENUE SUR NOTRE BOUTIQUE SAINTE RITA
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Sainte Rita a bercé mon enfance. Mon père, brigadier de police et mon frère aidaient lors de l'installation de la crèche dans l'Eglise. J'ai des souvenirs émouvants du père Bianco qui, en 1962, nous envoyait à ma sœur et moi la carte avec la photo de Sainte Rita dans son cercueil transparent et nous appelait ses petites amies.
Je vous félicite pour votre jubilé... 50 ans au service de l'Eglise, c'est pas rien ! Depuis de nombreuses années, en vacances dans la région niçoise, je vous voyais une seule fois l'an, pour la récitation du chapelet le 16 juillet pour Notre Dame du Mont Carmel. Mais maintenant, il ne m'est plus possible de séjourner dans la région et je suis bien triste de ne plus vous rendre visite dans votre si belle église... enfin c'est la vie...
Je vous souhaite une bonne continuation et beaucoup de bonheur auprès de Sainte Rita, qu'elle vous protège et vous garde la santé. Merci.
l'église de Sainte Rita est devenue, depuis que je suis à Nice, ma deuxième maison. C'est aussi grâce à vous, pour votre dévouement et pour la gentillesse de vous tous, que je ne quitterai jamais cette église et Sainte Rita.
Tanti auguri affinché possa rimanere sempre vicino ai fedeli di Santa Rita !