Notre site vous permet de mieux connaître Sainte Rita et de prier en communion avec tous ceux et celles qui aiment la Sainte de Cascia. Vous pouvez nous confier vos intentions de prière à Sainte Rita et nous faire part des grâces obtenues par son intercession.Vous avez aussi un accès facile à la Revue Sainte Rita, ainsi qu’aux livres et objets religieux de la Boutique Sainte Rita.
Avec Sainte Rita, apprenons que « rien n’est impossible à Dieu. » (Luc 1, 37).
Retrouvez du 14 au 22 septembre la Neuvaine à Sainte Rita.
Pour rester en lien, la Prière de confiance à Sainte Rita vous soutiendra au quotidien.
N’hésitez pas à déposer vos intentions de prières pour la neuvaine du mois sur notre site.
Sainte Rita, toi qui ne cesses d’intercéder auprès du Seigneur et nous assures de son secours, nous nous tournons vers toi avec confiance :
- Sainte Rita, nous te prions pour tous les enfants du monde, apprends-nous à nous laisser guider par l’Esprit Saint afin de devenir pour eux des modèles de vie.
Sainte Rita, prie pour nous.
- Sainte Rita, en ce mois de la Croix Glorieuse, apprends-nous à dépasser notre peur de souffrir pour goûter à la joie de ne faire que la volonté de Dieu ;
Sainte Rita, prie pour nous
- Sainte Rita, ton chapelet à la main, tu as conquis les cœurs par ta douceur, guide-nous vers Marie, reine de la Paix.
Sainte Rita, prie pour nous.
Pour cette intention qui me tient à cœur (...) et que je confie à ta bienveillante intercession auprès du Seigneur ;
Sainte Rita, prie pour nous.
Notre Père - Je vous salue Marie - Gloire au Père
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Vous serez lu. Nous vous répondrons. Il pourrait être publié sur notre site dans la rubrique Témoignages et remerciements et dans la Revue Sainte Rita
Le 22 de chaque mois, une rose est offerte à chaque fidèle à la fin de la messe de 16h30.
Un temps de prière est consacré à Sainte Rita et les roses sont bénies par un prêtre de la communauté des Oblats de la Vierge Marie.
À l’occasion de l’ouverture dimanche 8 septembre du 53e Congrès eucharistique international, le Pape François a envoyé un message vidéo dans lequel il demande à tous d’observer une « fraternité profonde » et « proactive ». Le Saint-Père a par ailleurs nommé le Cardinal Baltazar Enrique Porras Cardozo, archevêque émérite de Caracas, pour le représenter.
Le Pape François a enregistré un message vidéo à l’occasion de l’ouverture des travaux du Congrès eucharistique international ce dimanche 8 septembre à Quito la capitale équatorienne. Un congrès qui s’achèvera le 15 septembre prochain et qui a pour devise : “La fraternité pour guérir le monde”.
Dès l’entame de son propos, François souligne que « les leçons que nous pouvons tirer de la très sainte Eucharistie nous surprennent toujours ». En reprenant le psaume 139 : « Je les considère comme terminés, et pourtant je reste avec Toi, Seigneur », «qui es silencieusement présent dans le Tabernacle», le Pape argentin précise que le choix «parmi ces enseignements» de la «fraternité», est comme une condition «essentielle pour un monde nouveau, plus juste, plus humain».
La fraternité en tout temps et en tout lieu
Pour François « les premiers Pères de l'Église nous ont déjà dit que le signe du pain allume dans le Peuple de Dieu le désir de la fraternité, car de même que le pain ne peut être pétri à partir d'un seul grain, de même nous devons marcher ensemble, parce que ‘‘bien que nous soyons nombreux, nous sommes un seul corps, un seul pain’’» (cf. Sermon 227 de saint Augustin). Ce qui fait dire à l’évêque de Rome que « c’est ainsi que nous grandissons comme frères, comme Église, unis par l'eau du baptême et purifiés par le feu de l'Esprit Saint ».
Texte et photo extraits de Vatican News
Pourquoi ne pas profiter de cette rentrée pour poser dans notre agenda des temps de silence réservés au cœur à cœur avec le Seigneur ?
Le rire rassemble et tisse des liens. La parole du Saint Père crée un pont entre l'humour et la foi.
Aller plus loin avec « La parole du Saint Père »
Accompagner des catéchumènes adultes vers le baptême telle est la mission de Norbert CALDERARO. Au bout du parcours : la paix intérieure, la joie de donner et l’espérance.
Suivre « Témoignage de Vie »
« C'est le propre de l'Amour de Dieu que de nous écouter». Le pasteur luthérien Dietrich Bonhoeffer nous livre cette révélation à travers un texte fort.
En savoir plus avec « Enseignement »
Être à l'écoute des patients ou être à l’écoute de la voix du Seigneur fait partie des fonctions de Magali Marchand qui assure le service de l'aumônerie catholique au sein de l’Hôpital de Cimiez à Nice. Lors d’un reportage, elle se confie à Sophie et témoigne de son privilège de pouvoir vivre sa foi au quotidien.
Se laisser inspirer par « l'Aumônerie »
À travers l’épisode « L'entrée dans la pleine Lumière », relaté par le Père Louis Normandin, nous prenons conscience que pour les Saints le jour de leur vraie naissance est celle du Ciel.
Rejoindre « Sainte Rita et nous »
Une mamie heureuse et comblée remercie Sainte Rita pour la protection de sa nombreuse famille.
Découvrir « Merci Sainte Rita »
Retrouver la "Neuvaine du mois et l'apostolat de la prière"
Père Patrice Véraquin, omv, Recteur Provincial et Directeur de le Revue, présente la revue Sainte Rita du mois de septembre 2024 :
En savoir plus sur la Revue Sainte Rita
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L’Eglise fête le 12 septembre le Saint Nom de Marie, une fête inscrite dans l’octave de celle de la Nativité de la Vierge : elle a été rétablie en 2002 par le bienheureux Jean-Paul II, pour des raisons spirituelles et historiques. Les saints ont invoqué le Nom de Marie, comme un refuge dans les épreuves.
Nous vous invitons à relire la belle prière de Saint Bernard de Clairvaux : « Le nom de la Vierge était Marie ».
Sainte Rita, peinture de Slobodan
Père du Ciel
je te loue et te rends grâces.
Mon cœur est à la joie, mon âme est dans la Paix.
Je te loue et te rends grâces pour le signe
que tu m'as donné de ton amour.
Je crois que Sainte Rita s'est tenue
devant toi intercédant en ma faveur ;
je l'en remercie aussi,
puisqu'elle ne fait qu'un avec Toi
et qu'en l'aimant je t'aime,
et qu'en la faisant connaître je te fais connaître.
Aujourd’hui je suis dans la joie,
certainement il y aura d’autres épreuves ;
mais je sais aussi qu'un jour auprès de toi
il n'y aura plus « ni pleurs, ni cris, ni deuils ».
Donne-moi, Père, de te suivre désormais
dans la fidélité à l'Evangile,
l'engagement d'une vie chrétienne,
l'espérance de ton jour.
Amen.
Ce 14 septembre, l'Église célèbre la fête de la Croix Glorieuse. L'évangile de la fête joue sur le double sens du verbe « élever » : élever sur la croix et élever dans la gloire. Dans notre Revue Sainte Rita de Septembre 2024 , le Pape Jean-Paul II invite à glorifier cette solennité à travers notre rubrique Rayons de Lumière. Le Père Jacques Guillet, prêtre jésuite français théologien bibliste, nous a laissé une belle prière d'humilité pour ce jour dédié.
Quand on s’est mis devant le Christ en Croix et qu’on se voit pécheur jusqu’au fond de l’être, qu’on se sait pardonné par le plus grand Amour, on peut affronter le malheur du monde, on peut apporter le pardon et l’espoir au cœur de la nuit, annoncer une Eglise fondée sur Pierre, pécheur et pardonné.
Quand on rêve d’apporter la justice aux affamés, la joie aux malheureux, la paix entre les ennemis, et qu’on a vu Jésus toucher les lépreux, embrasser les enfants et sécher les larmes des mères, on peut oser Lui demander d’être admis à Sa suite, et de marcher parmi Ses disciples.
Quand on a livré sa vie au Seigneur Jésus, quand on engage son existence devant une décision de fond, on trouvera toujours dans le monde des frères et des sœurs, des hommes et des femmes sachant pourquoi ils vivent, et l’on verra paraître le vrai visage d’un Eglise accueillante et sereine au milieu des hommes.
Quand on a entendu les cris de détresse de la terre, et qu’on sent germer l’espoir aux quatre vents du monde, on cherche à rejoindre le cœur de l’univers, le centre mystérieux de l’humanité et l’on va se mettre au service de l’Eglise et du Pape pour mieux entendre ses appels.
Quand on est lié par le cœur des frères François-Xavier, Jean de Brébeuf, Pierre Claver et ceux aujourd’hui dans les prisons de Chine ou les bidonvilles d’Afrique, on n’a plus peur de rester inutile dans un monde rétréci de tous les horizons, Dieu saura nous appeler. Amen.
Père Jacques Guillet (1910-2001)
Ô Mère,
pourquoi tant de tendresse dans ton Regard ?
Quand Tu penches la tête
et fixes les yeux sur moi,
Je vois sur ton Visage une extrême bonté.
Ton Regard est pour moi une tendre caresse.
Ô Marie, que ton Regard est attachant.
Je crois y lire ton ardent Amour,
Ta profonde Compassion pour mon âme,
Et pour ma vie tout remplie de souffrances.
Tu me regardes, Tu me regardes sans cesse,
Tant dans les jours de joie que de tristesse,
Et ton Regard est une invitation à me jeter dans Tes bras
Pour y être cajolé et guéri de mes blessures.
Ton Regard est ma consolation dans mes peines,
Il est la joie et la paix de mon cœur.
Si je fais un faux pas et tombe dans le péché,
Ton Regard est un avertissement pour mon âme.
Les jours où je suis joyeux, Tu me regardes aussi avec amour,
Comme pour ajouter encore à ma joie, et dans ta Bonté,
Tu n’oublies pas de me regarder dans les combats de la vie,
Comme pour m’encourager à garder la patience.
Surtout dans les moments où je suis à bout de force,
Tu ne manques jamais de me regarder.
Dans le trouble comme dans les dangers,
Ton Regard est mon réconfort et mon soutien.
Ô Marie, je T’aime beaucoup !
Il me suffit de regarder ton Visage pour être rassuré ;
Il me suffit de regarder ton Visage pour dissiper ma tristesse ;
Il me suffit de regarder ton Visage pour recouvrer la paix.
Ô Mère chérie, que de tendresse dans ton Regard !
Regarde-moi jusqu’à mon arrivée en paradis,
Jusqu’au moment où, comme englouti dans la pupille de tes Yeux,
Je contemplerai avec Toi le Dieu d’une Tendresse infinie.
Ainsi soit-il.
Marcel Van (1928-1959)
La beauté intérieure des églises et leurs trésors laissent rarement indifférent, observe notre chroniqueur Jean-Étienne Rime. Un vitrail, une statue ou un chapiteau peuvent créer des liens entre visiteurs avertis et touristes curieux : avec notre concours, l’art sacré peut créer du dialogue et poursuivre son œuvre d’évangélisation.
Cet été, certains sont sportifs, d’autres se contentent de la plage et d’autres encore visitent les merveilles de notre pays avec un appétit culturel évident et beaucoup se partagent entre ces différentes activités. Pour eux, la France offre des lieux d’exploration quasi infinis et les sites, monuments, œuvres d’art issus de notre patrimoine chrétien forment un tout essentiel, inévitable pour les laïques militants, indispensable pour les amateurs d’histoire et d’art. En cette période de vacances alors que du temps se libère, l’art sacré nous parle ainsi que sa raison d’être : l’appel à évangéliser.
L’art religieux nous appelle
Que seraient les paysages d’Europe sans l’art sacré ? Églises, cathédrales ou simples chapelle, dans la moindre commune (ou paroisse) l’on trouve une pietà, une conversion de saint Paul ou une Sainte Famille réalisée par un artiste célèbre ou anonyme. Ouvrons la porte d’un musée et si les thèmes sont variés, l’on ne manquera pas une œuvre religieuse de Rubens, de Courbet — qui pourtant n’était pas très religieux — ou de Matisse. Ces tableaux ou sculptures ont été commandés par des princes de sang ou d’Église, des fidèles de toutes conditions pour honorer des lieux de vie et de prière en les marquant de leur foi avec une œuvre qui dépasse le temps humain.
Aujourd’hui, l’art sacré reste une valeur sûre, achetée à prix d’or dans les maisons de ventes aux enchères et l’on peut même s’étonner de l’engouement du Louvre d’Abu Dhabi pour une représentation du Christ. Plus actuel que jamais, l’art religieux nous nous appelle à poursuivre la démarche de cette foule infinie de mécènes et de créateurs au service du Créateur.
Texte et photos extraits de ALETEIA
Lors de la messe au Timor oriental, François appelle à s’inspirer des petits.
Environ 600 000 personnes étaient réunies pour assister à la messe présidée par le Pape François à quelques kilomètres de la capitale timoraise ce mardi 10 septembre. Dans son homélie, le Saint-Père a réfléchi sur le plus beau don de Dieu, le don de son fils Jésus à l’humanité, qui invite chacun à se faire petit au milieu des petits.
Sous une chaleur écrasante, à 16h30 heure locale, le Pape a présidé la célébration de l’Eucharistie, entouré par près de la moitié de la population est-timoraise réunie sur la place de Taci Tolu.
Reprenant la première lecture tirée du livre d’Isaïe, le Saint-Père a d’abord médité sur la promesse de ce prophète, la naissance d’un enfant. À l’époque d’Isaïe, a rappelé le Pape, Jérusalem était riche matériellement mais pauvre spirituellement. Dressant un parallèle avec aujourd’hui, François a expliqué que dans un monde « où il y a un grand besoin de conversion, de miséricorde et de guérison », ce ne sont ni les armes, ni les troupes ni l’argent, mais bien la naissance d’un enfant qui vient ouvrir « un avenir d’espérance et de joie »
Dieu se fait proche par un enfant
Ensuite, inspiré par l’Évangile de l’Annonciation lu au cours de la messe, dans lequel Marie apprend qu’elle va devenir la mère du Sauveur, le Saint-Père a évoqué la joie qui existe partout dans le monde lorsqu’un enfant nait. Une joie simple et universelle, qui cache un amour encore plus grand, celui de Dieu, a-t-il assuré.
“La proximité de Dieu passe par un enfant, Dieu se fait enfant, et ce n'est pas pour nous étonner ou nous émouvoir, mais pour nous ouvrir à l'amour du Père et nous laisser façonner par lui, pour qu'Il puisse guérir nos blessures, régler nos différends, mettre de l'ordre dans l'existence.”
Texte et photo extraits de Vatican News
Tableau de Rosa Sylvia Guibert (1951) Eglise de l'Annonciation Chapelle Sainte Rita, Nice
Sainte Rita, sainte des causes perdues et désespérées, vécut de 1381 à 1457.
Cinq siècles plus tard sa vie continue d’inspirer des millions de personnes à travers le monde. Une vie où se côtoient phénomènes mystiques et simplicité du quotidien, une vie chargée de grandes souffrances mais vécue dans la joie « d’aimer sans compter ».
Jeune fille Rita est déjà toute tournée vers Dieu. Mariée par obligation familiale à un homme rude, elle surmonte par sa douceur et sa patience les difficultés initiales de son mariage. Elle vit dix-huit années de bonheur avec l’homme dont elle aura deux enfants. Elle a 36 ans lorsqu’il est traîtreusement assassiné. Quelques temps plus tard, elle perd ses deux enfants.
Entrée au monastère elle s’immerge dans une intense vie de prière. Son union intime au Christ crucifié se manifeste par le stigmate de l’épine. Elle accueille tous ceux qui viennent demander son aide et sa prière.
Toute la vie de Sainte Rita respire l’amour de Dieu et la confiance totale en sa Providence.
Mourante, Rita demande à sa cousine d’aller lui cueillir une rose. Bien qu’en « plein hiver » la parente trouve la rose. Cet épisode est à l’origine de l’image où l’on voit Sainte Rita répandre des roses, symbole des grâces qu’elle obtient pour ceux et celles qui font confiance en l’intercession de « la sainte des causes désespérées et des cas impossibles. »
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