« Abba ! Père ! »
Seigneur Jésus, c’est ainsi que
par des gémissements ineffables,
Tu t’adressais à ton Père, Le Dieu tout-puissant,
créateur de l’univers visible et invisible.
Et c’est ainsi qu’aujourd’hui,
pour la fête des pères, tu nous invites
à nous tourner vers Dieu ton père et notre père :
Abba, Père,
Par ton Fils Jésus-Christ, notre frère,
Tu nous as fait la grâce de nous combler de ton amour
et de nous adopter comme tes enfants bien-aimés !
Père infiniment bon,
nous te bénissons pour « le grand Mystère »
que tu instituas dès l’origine,
l’union entre l’homme et la femme,
afin qu’à ton image et à ta ressemblance,
ils fussent féconds dans l’amour.
Abba ! Père !
De même que tu confias ton Fils Jésus à saint Joseph,
Pour qu’uni à son épouse la très sainte Vierge Marie,
Il l’élève et le conduise à sa maturité humaine ;
Tu nous as confié à notre père terrestre,
Pour qu’uni à notre mère,
Il veille sur nous avec amour et nous élève vers toi.
C’est pourquoi, Abba, Père,
En ce jour de la fête des pères, nous te prions pour notre papa
Et pour tous les papas du monde :
Que par le témoignage de leur vie donnée,
ils soient en ce monde les dignes icônes de ta paternité divine,
Et que dès cette vie ils soient comblés de tes bénédictions,
En attendant de partager la gloire des bienheureux
dans la communion de ton Esprit d’amour.
Amen.
"Des enfants qui ont des valeurs et des enfants qui ont de la valeur".
Sophie a rencontré Sylvie Venieris permanente de la structure niçoise Action Catholique des Enfants.
Un reportage où "le je" s'exprime à travers "le jeu".
Le reportage complet est à lire dans la Revue Sainte Rita du mois de Juin 2024
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Padre Pio est un saint italien du XXème siècle. Il est fêté le 23 septembre.
Mystique et thaumaturge, il a écrit de nombreuses prières, notamment à la Vierge Marie et à son ange gardien avec lequel il entretenait une relation forte.
La beauté intérieure des églises et leurs trésors laissent rarement indifférent, observe notre chroniqueur Jean-Étienne Rime. Un vitrail, une statue ou un chapiteau peuvent créer des liens entre visiteurs avertis et touristes curieux : avec notre concours, l’art sacré peut créer du dialogue et poursuivre son œuvre d’évangélisation.
Cet été, certains sont sportifs, d’autres se contentent de la plage et d’autres encore visitent les merveilles de notre pays avec un appétit culturel évident et beaucoup se partagent entre ces différentes activités. Pour eux, la France offre des lieux d’exploration quasi infinis et les sites, monuments, œuvres d’art issus de notre patrimoine chrétien forment un tout essentiel, inévitable pour les laïques militants, indispensable pour les amateurs d’histoire et d’art. En cette période de vacances alors que du temps se libère, l’art sacré nous parle ainsi que sa raison d’être : l’appel à évangéliser.
L’art religieux nous appelle
Que seraient les paysages d’Europe sans l’art sacré ? Églises, cathédrales ou simples chapelle, dans la moindre commune (ou paroisse) l’on trouve une pietà, une conversion de saint Paul ou une Sainte Famille réalisée par un artiste célèbre ou anonyme. Ouvrons la porte d’un musée et si les thèmes sont variés, l’on ne manquera pas une œuvre religieuse de Rubens, de Courbet — qui pourtant n’était pas très religieux — ou de Matisse. Ces tableaux ou sculptures ont été commandés par des princes de sang ou d’Église, des fidèles de toutes conditions pour honorer des lieux de vie et de prière en les marquant de leur foi avec une œuvre qui dépasse le temps humain.
Aujourd’hui, l’art sacré reste une valeur sûre, achetée à prix d’or dans les maisons de ventes aux enchères et l’on peut même s’étonner de l’engouement du Louvre d’Abu Dhabi pour une représentation du Christ. Plus actuel que jamais, l’art religieux nous nous appelle à poursuivre la démarche de cette foule infinie de mécènes et de créateurs au service du Créateur.
Texte et photos extraits de ALETEIA
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Lors de la messe au Timor oriental, François appelle à s’inspirer des petits.
Environ 600 000 personnes étaient réunies pour assister à la messe présidée par le Pape François à quelques kilomètres de la capitale timoraise ce mardi 10 septembre. Dans son homélie, le Saint-Père a réfléchi sur le plus beau don de Dieu, le don de son fils Jésus à l’humanité, qui invite chacun à se faire petit au milieu des petits.
Sous une chaleur écrasante, à 16h30 heure locale, le Pape a présidé la célébration de l’Eucharistie, entouré par près de la moitié de la population est-timoraise réunie sur la place de Taci Tolu.
Reprenant la première lecture tirée du livre d’Isaïe, le Saint-Père a d’abord médité sur la promesse de ce prophète, la naissance d’un enfant. À l’époque d’Isaïe, a rappelé le Pape, Jérusalem était riche matériellement mais pauvre spirituellement. Dressant un parallèle avec aujourd’hui, François a expliqué que dans un monde « où il y a un grand besoin de conversion, de miséricorde et de guérison », ce ne sont ni les armes, ni les troupes ni l’argent, mais bien la naissance d’un enfant qui vient ouvrir « un avenir d’espérance et de joie »
Dieu se fait proche par un enfant
Ensuite, inspiré par l’Évangile de l’Annonciation lu au cours de la messe, dans lequel Marie apprend qu’elle va devenir la mère du Sauveur, le Saint-Père a évoqué la joie qui existe partout dans le monde lorsqu’un enfant nait. Une joie simple et universelle, qui cache un amour encore plus grand, celui de Dieu, a-t-il assuré.
“La proximité de Dieu passe par un enfant, Dieu se fait enfant, et ce n'est pas pour nous étonner ou nous émouvoir, mais pour nous ouvrir à l'amour du Père et nous laisser façonner par lui, pour qu'Il puisse guérir nos blessures, régler nos différends, mettre de l'ordre dans l'existence.”
Texte et photo extraits de Vatican News
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