Après le décès de notre papa en 1991, j’ai soigné notre maman âgée de 83 ans, promesse faite à papa avant sa mort. Devant le chagrin de maman et le choc du décès, je décidai de la prendre avec moi afin de lui assurer plus de confort et d’aide.
Les années passèrent et la santé de maman se dégrada peu à peu. Le médecin me recommandait de placer maman dans une maison de retraite. Face à cette grave décision, je décidai de me plier aux conseils de notre médecin et d’inscrire maman dans une maison. Je lui promis que chaque jour je serais auprès d’elle et c’est ce que je fis.
Un bon matin, un coup de téléphone m’annonça que l’ambulance transportait maman à l’hôpital : baisse de tension à 6 due à une chute puis, lorsque maman était en soins intensifs, tension à 3 ! Impossible de passer le scanner. Aussitôt, bouleversée, je me rendis à son chevet. L’infirmière me fit comprendre que les minutes étaient comptées…
Alors, assise tout près de maman, je pris ses mains dans les miennes et très fortement, je me mis à prier notre Sainte Rita ; je lui demandais de la sauver, de la prolonger sans séquelles. Je crois que je n’ai jamais prié aussi intensément. L’infirmière revint à nos côtés : tension 8, et un moment après, 12 !!! L’infirmière n’en revenait pas : « miracle » m’a-t-elle dit. J’étais saisie, bouleversée… mais tellement contente. Par la suite, les examens ont été faits : scanner, etc.
Maman a vécu un an de plus, sans séquelles, consciente, sans perte de mémoire. Pendant cette année de renaissance je n’ai cessé, avec tout mon AMOUR, mon attention, ma reconnaissance, de remercier notre chère Sainte Rita. J’ai pu chouchouter maman, lui prodiguer toute ma tendresse en l’entourant de mes bras, et lui dire combien j’ai eu de la chance d’avoir une maman aussi merveilleuse et exceptionnelle. Maman est décédée le 12 mars 2005, tout juste une année après son accident.
Je prie beaucoup Sainte Rita, elle est dans toutes mes prières, et je la remercie de cette immense grâce. Depuis je distribue, après la neuvaine à Sainte Rita, les livrets que vous m’envoyez pour la faire connaître à tous. Merci à notre Sainte Rita !
Marie-Cécile
"Des enfants qui ont des valeurs et des enfants qui ont de la valeur".
Sophie a rencontré Sylvie Venieris permanente de la structure niçoise Action Catholique des Enfants.
Un reportage où "le je" s'exprime à travers "le jeu".
Le reportage complet est à lire dans la Revue Sainte Rita du mois de Juin 2024
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Padre Pio est un saint italien du XXème siècle. Il est fêté le 23 septembre.
Mystique et thaumaturge, il a écrit de nombreuses prières, notamment à la Vierge Marie et à son ange gardien avec lequel il entretenait une relation forte.
La beauté intérieure des églises et leurs trésors laissent rarement indifférent, observe notre chroniqueur Jean-Étienne Rime. Un vitrail, une statue ou un chapiteau peuvent créer des liens entre visiteurs avertis et touristes curieux : avec notre concours, l’art sacré peut créer du dialogue et poursuivre son œuvre d’évangélisation.
Cet été, certains sont sportifs, d’autres se contentent de la plage et d’autres encore visitent les merveilles de notre pays avec un appétit culturel évident et beaucoup se partagent entre ces différentes activités. Pour eux, la France offre des lieux d’exploration quasi infinis et les sites, monuments, œuvres d’art issus de notre patrimoine chrétien forment un tout essentiel, inévitable pour les laïques militants, indispensable pour les amateurs d’histoire et d’art. En cette période de vacances alors que du temps se libère, l’art sacré nous parle ainsi que sa raison d’être : l’appel à évangéliser.
L’art religieux nous appelle
Que seraient les paysages d’Europe sans l’art sacré ? Églises, cathédrales ou simples chapelle, dans la moindre commune (ou paroisse) l’on trouve une pietà, une conversion de saint Paul ou une Sainte Famille réalisée par un artiste célèbre ou anonyme. Ouvrons la porte d’un musée et si les thèmes sont variés, l’on ne manquera pas une œuvre religieuse de Rubens, de Courbet — qui pourtant n’était pas très religieux — ou de Matisse. Ces tableaux ou sculptures ont été commandés par des princes de sang ou d’Église, des fidèles de toutes conditions pour honorer des lieux de vie et de prière en les marquant de leur foi avec une œuvre qui dépasse le temps humain.
Aujourd’hui, l’art sacré reste une valeur sûre, achetée à prix d’or dans les maisons de ventes aux enchères et l’on peut même s’étonner de l’engouement du Louvre d’Abu Dhabi pour une représentation du Christ. Plus actuel que jamais, l’art religieux nous nous appelle à poursuivre la démarche de cette foule infinie de mécènes et de créateurs au service du Créateur.
Texte et photos extraits de ALETEIA
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Lors de la messe au Timor oriental, François appelle à s’inspirer des petits.
Environ 600 000 personnes étaient réunies pour assister à la messe présidée par le Pape François à quelques kilomètres de la capitale timoraise ce mardi 10 septembre. Dans son homélie, le Saint-Père a réfléchi sur le plus beau don de Dieu, le don de son fils Jésus à l’humanité, qui invite chacun à se faire petit au milieu des petits.
Sous une chaleur écrasante, à 16h30 heure locale, le Pape a présidé la célébration de l’Eucharistie, entouré par près de la moitié de la population est-timoraise réunie sur la place de Taci Tolu.
Reprenant la première lecture tirée du livre d’Isaïe, le Saint-Père a d’abord médité sur la promesse de ce prophète, la naissance d’un enfant. À l’époque d’Isaïe, a rappelé le Pape, Jérusalem était riche matériellement mais pauvre spirituellement. Dressant un parallèle avec aujourd’hui, François a expliqué que dans un monde « où il y a un grand besoin de conversion, de miséricorde et de guérison », ce ne sont ni les armes, ni les troupes ni l’argent, mais bien la naissance d’un enfant qui vient ouvrir « un avenir d’espérance et de joie »
Dieu se fait proche par un enfant
Ensuite, inspiré par l’Évangile de l’Annonciation lu au cours de la messe, dans lequel Marie apprend qu’elle va devenir la mère du Sauveur, le Saint-Père a évoqué la joie qui existe partout dans le monde lorsqu’un enfant nait. Une joie simple et universelle, qui cache un amour encore plus grand, celui de Dieu, a-t-il assuré.
“La proximité de Dieu passe par un enfant, Dieu se fait enfant, et ce n'est pas pour nous étonner ou nous émouvoir, mais pour nous ouvrir à l'amour du Père et nous laisser façonner par lui, pour qu'Il puisse guérir nos blessures, régler nos différends, mettre de l'ordre dans l'existence.”
Texte et photo extraits de Vatican News
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