« Je suis le pain vivant qui est descendu du ciel.
Si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement » (Jean 6, 51)
Faire célébrer une messe c’est croire en la puissance d’Amour que le Christ manifeste dans le Mystère de sa Croix et de sa Résurrection. L’Eucharistie est ce même Mystère célébré dans tous les temps et tous les lieux.
La messe est toujours célébrée pour tous : l’Amour infini du Christ embrasse en son Cœur l’humanité tout entière et chacun personnellement. L’Eucharistie a toujours une valeur universelle !
Toutefois, il est de tradition dans l’Eglise d’ajouter une intention particulière pour laquelle le prêtre célèbre l’Eucharistie. Tous peuvent demander qu’une messe soit célébrée pour telle ou telle intention.
Demander de faire célébrer une messe, c’est donc entrer dans la prière de Jésus et de l’Eglise, c’est confier à l’Amour de Dieu une intention particulière qui nous est chère.
On peut offrir une messe en action de grâce pour un événement heureux : naissance, anniversaire, noces d’or ou d’argent, guérison, paix retrouvée… ou pour n’importe quelle grâce reçue, d’ordre matériel ou spirituel.
On peut présenter comme intention toute demande qui nous tient à cœur et qui va dans le sens de la Volonté de Dieu, en tous domaines de la vie : santé, famille, études, travail, discernement d’une décision, etc. On peut demander pour soi-même ou pour les autres : parents, enfants, amis ou toute autre personne.
Par la grâce de l’Eucharistie, nos frères et sœurs défunts peuvent être secourus, purifiés et libérés des liens qui les empêchent encore d’entrer dans la joie du Ciel. Une messe célébrée à l’intention d’un défunt a une valeur inestimable, car c’est l’Amour du Christ qui le rejoint et le libère. C’est le don le plus précieux qu’on puisse faire à un être cher qui nous a quittés.
La messe n’a pas de prix, c’est un bien spirituel. Mais dès les origines du christianisme, les fidèles ont contribué à la célébration de l’Eucharistie par des dons et des offrandes destinés à assurer les frais du culte, la subsistance des prêtres, la vie de l’Église. Il ne s’agit donc pas d’acheter une messe, et c’est pourquoi on ne parle pas de « prix » d’une messe mais plutôt « d’offrande » ou « d’honoraires de messe ». Il s’agit d’une participation financière dont le but principal est de subvenir aux besoins du prêtre et de sa communauté.
Le montant de l’offrande est fixé, dans chaque pays, par la Conférence des évêques afin d’éviter toute surenchère. Toutefois, pour la personne n’ayant pas de ressources, l’offrande peut être moindre selon ses possibilités.
De toutes façons il faut voir cette participation comme un don qui vient du cœur. Dans la communion avec le prêtre et toute l’Eglise qui célèbre, celui qui offre une messe présente son intention au Seigneur pour que, dans l’Amour du Christ, sa prière soit accueillie par le Père.
« Toutes les bonnes œuvres réunies n’équivalent pas au sacrifice de la messe parce qu’elles sont l’œuvre des hommes, et la Sainte Messe, l’œuvre de Dieu : elle est le sacrifice que Dieu fait aux hommes de son Corps et de son Sang. » (Curé d’Ars)
« Le moyen le plus approprié et efficace de rendre hommage à nos défunts est de prier pour eux, en offrant des actes de foi, d’espérance et de charité. En union au Sacrifice eucharistique, nous pouvons intercéder pour leur salut éternel, et faire l’expérience de la communion la plus profonde, dans l’attente de nous retrouver ensemble, pour jouir à jamais de l’Amour qui nous a créés et rachetés. » (Benoît XVI)
Note : Nous ne pouvons préciser la date de célébration de la messe, car les messes sont célébrées par des Pères Oblats (ou quelquefois par d’autres prêtres qui en ont besoin) dans nos communautés et nos missions à travers le monde. Nous vous assurons qu’elles sont célébrées dans les meilleurs délais possibles. Nous vous invitons à participer vous-mêmes à une célébration eucharistique à la date qui convient à votre intention.
Le secrétaire d'État du Saint-Siège, envoyé par le Pape en Ukraine, a présidé la messe au sanctuaire marial de Berdytchiv, à 150 kilomètres de Kiev. Il a conseillé aux fidèles de «ne pas perdre la foi même s'il semble que le mal ait le dessus ». Le cardinal Parolin a aussi exhorté l'Église à prier sans cesse « pour que Dieu convertisse les cœurs de ceux qui, s'étant éloignés de ses voies et devenus esclaves de leur propre orgueil, sèment la violence et la mort, piétinant la dignité des enfants.
Le cardinal Pietro Parolin se fait l'écho de l'appel à la paix du Pape et du peuple ukrainien depuis le sanctuaire de Notre-Dame du Mont Carmel à Berdytchiv, l'un des centres spirituels de la communauté catholique du pays, cher à ceux qui professent le rite latin et qui concluent les célébrations de leur pèlerinage.
L'histoire du sanctuaire
« Rien n'est impossible à Dieu, a répété le représentant du Vatican, rassurant les fidèles que le Pape est proche et partage la douleur des Ukrainiens à qui il tend « son étreinte paternelle ». L’homélie prononcée presque entièrement en ukrainien par Mgr Edward Kawa, auxiliaire de l'archidiocèse de Lviv des Latins -à l'exception de la salutation initiale et de la prière finale à Notre-Dame du Mont Carmel récitée par le cardinal Parolin- a fait mémoire du premier miracle qui a marqué l'histoire de ce lieu de culte.
Mettre à la place d'un cœur de pierre un cœur de chair
Les événements relatés dans la première lecture, tirée du premier livre des Rois, l'épisode connu comme le sacrifice du prophète Élie sur le mont Carmel, sont racontés à nouveau. À la lumière de ce récit, l'Église ukrainienne doit être « prophétique ».
Quand il n'y a plus de force pour prier, faire confiance à Dieu
«Ne perdez jamais la confiance et l'espérance en Dieu, surtout aujourd'hui, quand il semble que le mal ait le dessus, quand les horreurs de la guerre, la douleur des nombreuses victimes et les destructions massives sapent la foi en la bonté divine, quand les bras nous tombent et que nous n'avons même plus la force de prier».
Textes et photo extraits de VATICAN NEWS
Revoir l'intégralité de l'Angélus du 21 juillet 2024
L’alliance du cœur et de la lenteur. Avant de réciter la prière mariale de l’Angélus, dimanche 21 juillet, place Saint-Pierre, le Pape a exhorté chacun à cultiver son désert intérieur au milieu du bruit et de l’affairisme quotidiens. Seule manière selon lui d’être présent pour son prochain, sous le regard de Dieu.
« Venez à l’écart dans un endroit désert, et reposez-vous un peu ». Méditant sur l’Évangile selon saint Marc de ce dimanche 21 juillet, qui reflète la compassion de Jésus devant la foule qui l’attendait « comme des brebis sans berger », le Souverain pontife est revenu sur ce binôme en apparence « inconciliable » formé par le repos et la compassion.
La compassion ne s'éprouve que le cœur reposé
Ce repos proposé par Jésus n'est pas une fuite du monde ou une retraite dans le bien-être personnel, a précisé le Successeur de Pierre, au contraire, face aux personnes perdues, il éprouve de la compassion. L'Évangile nous apprend donc que ces deux réalités -repos et compassion- sont liées : « ce n'est que si nous apprenons à nous reposer que nous pourrons avoir de la compassion ».
“Ce n'est que si nous apprenons à nous reposer que nous pourrons avoir de la compassion.”
Un tête-à-tête entre Dieu et soi-même
Et l’évêque de Rome d’interpeller fidèles et pèlerins de ce mois de juillet : « Est-ce que je sais m'arrêter au cours de ma journée ? Est-ce que je sais prendre un moment pour être avec moi-même et avec le Seigneur, ou est-ce que je suis toujours pris dans la course des choses à faire ?» En cette période estivale, François a donc exhorté chacun à trouver un peu de « désert » intérieur au milieu du bruit et des activités quotidiennes.
Textes et photo extraits de VATICAN NEWS
Sensibilisation don de sang, plasma, plaquettes.
« La région PACA est une région où nous consommons énormément de produits sanguins mais nous n’arrivons pas à collecter suffisamment.
Nous dépendons donc de la générosité des autres régions pour soigner les malades et accidentés.
Or, cette année, est une année particulière, car la région Ile de France ne va pouvoir collecter comme à son habitude en raison des Jeux olympiques et paralympiques.
De plus, la période estivale marque une baisse de mobilisation des donneurs alors que les besoins, eux, sont en constante augmentation.
Maison du don 3 rue Galléan, 06000 Nice
Ouverte tous les jours du lundi au samedi. 9h30 – 16h30 non-stop, sauf le jeudi de 11h à 18h.
Les collations et repas sont évidemment toujours en vigueur pour nos précieux donneurs. »
Texte et photo produits par Établissement Français du Sang
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Le 22 mai de chaque année, nous célébrons la fête de Sainte Rita. Un reportage a été consacré à la fresque décorant un pan de mur de l'Oratoire de l'Église.
Sophie a rencontré Marianne Hervy auteure de ce quadriptyque relatant les épisodes de la « Sainte Patronne des causes perdues et des causes désespérées ».
Le reportage complet est à retrouver dans la Revue de Sainte Rita.
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