Espace Priere

Témoignage de Thérèse

Maître autel de l'Eglise Sainte Rita de Nice

Mardi 30 avril 2013. Je viens de passer une nuit de souffrances. Ce matin, quand j’ai voulu me lever, il m’était impossible de marcher, de m’asseoir. Je ne pouvais que rester debout ou m’allonger. Je consulte mon médecin, je passe un scanner et le résultat tombe : trois hernies discales dont une qui coince le nerf sciatique !

Pendant trois semaines je souffre beaucoup mais j’ai l’aide de Dieu et de Sainte Rita ; je prie. Je ne peux pas aller chercher mes médicaments ; grâce à Dieu, j’ai un bon samaritain – un Frère – qui va me les prendre à la pharmacie. À ma demande, un Père vient me porter la communion et prier avec moi. Cela me fait du bien. Je vais mieux, je marche un peu, suffisamment pour pouvoir retourner à la maison de Dieu, l’église qui est tout près de là où j’habite.

22 Mai, Fête de Sainte Rita. Je veux passer ma journée à l’église où je me sens en paix, et aider dans la mesure de mes possibilités, fort limitées. Je suis une battante. À 8h30 je pars sans mettre ma ceinture de soutien… À midi je dois rentrer à la maison percluse de douleurs. Je retourne quand même dans l’après-midi mais, cette fois, avec ma ceinture. Malgré les douleurs, je passe une journée merveilleuse dans la prière, l’amour de Dieu. C’est un soutien, une motivation pour lutter. Je me sens profondément reconnaissante envers mes parents qui m’ont transmis la foi et une éducation chrétienne. Je reste à l’église Sainte Rita jusqu’à la dernière messe à 18h00.

De retour à la maison, je fais quelques bricoles et j’enlève ma ceinture. Je continue mon petit train-train et soudain, je m’arrête. Je crois rêver ! Je touche mon dos, je me baisse, je m’assois, je fais quelques exercices… Rien, pas de douleurs !!! Un miracle du Seigneur par l’intercession de Sainte Rita qui m’a enlevé toutes les douleurs. Le lendemain, pas de maux ; je marche comme une jeune fille. Je me dis que ça doit être un répit, que mes douleurs vont revenir; mais non, je continue à me porter bien.

À la fin de l’été, pour des raisons familiales, je dois déménager. Je cours à droite, à gauche à la recherche d’un logement. Je prie Sainte Rita, j’invoque Notre Seigneur de m’aider à en trouver un au plus vite. Ouf! Je trouve. Ensuite je vois le déménageur qui m’apporte les cartons que je dois préparer pour le 25 septembre. Pendant deux semaines je fais les 66 cartons, tantôt pliée en deux, tantôt soulevant ce qui est lourd. Après, bien sûr, il faut les défaire : soulever de nouveau, se plier… et là j’ai peur. Je me dis que je vais à nouveau être coincée et ne plus pouvoir marcher. Eh bien NON ! Le « miracle » continue encore aujourd’hui…

Sainte Rita, mon Dieu, merci pour cette bénédiction, ce bonheur, cet amour que je ressens. Là encore vous m’avez pris par la main et m’avez guidée. La foi, la prière, c’est la plus belle chose dans une vie. Dieu est toujours près de moi. MERCI !

Thérèse

Commentaires  
#3 Evelyne 19-03-2017 19:38
Merci Thérèse pour ce beau témoignage. Cela me donne le courage et la force de persévérer dans la prière, même si parfois je me décourage. Je souffre du même problème moi aussi et je compte sur l'intercession de Sainte Rita auprès de Dieu.
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#2 Sabine 29-10-2016 17:09
Merci pour ton témoignage qui m'encourage dans la persévérance et la patience.
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#1 Marie Bernadette 07-01-2015 11:28
Je bénis le Seigneur pour Thérèse et un merci infini à Sainte Rita. Elle est la sainte de ma paroisse et c'est toujours une grande joie de prier avec elle.
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Actualités

Cardinal Parolin en Ukraine: implorons Dieu pour le miracle de la paix

 

Le secrétaire d'État du Saint-Siège, envoyé par le Pape en Ukraine, a présidé la messe au sanctuaire marial de Berdytchiv, à 150 kilomètres de Kiev. Il a conseillé aux fidèles de «ne pas perdre la foi même s'il semble que le mal ait le dessus ». Le cardinal Parolin a aussi exhorté l'Église à prier sans cesse « pour que Dieu convertisse les cœurs de ceux qui, s'étant éloignés de ses voies et devenus esclaves de leur propre orgueil, sèment la violence et la mort, piétinant la dignité des enfants.

Le cardinal Pietro Parolin se fait l'écho de l'appel à la paix du Pape et du peuple ukrainien depuis le sanctuaire de Notre-Dame du Mont Carmel à Berdytchiv, l'un des centres spirituels de la communauté catholique du pays, cher à ceux qui professent le rite latin et qui concluent les célébrations de leur pèlerinage.

L'histoire du sanctuaire

« Rien n'est impossible à Dieu, a répété le représentant du Vatican, rassurant les fidèles que le Pape est proche et partage la douleur des Ukrainiens à qui il tend « son étreinte paternelle ». L’homélie prononcée presque entièrement en ukrainien par Mgr Edward Kawa, auxiliaire de l'archidiocèse de Lviv des Latins -à l'exception de la salutation initiale et de la prière finale à Notre-Dame du Mont Carmel récitée par le cardinal Parolin- a fait mémoire du premier miracle qui a marqué l'histoire de ce lieu de culte.

Mettre à la place d'un cœur de pierre un cœur de chair

Les événements relatés dans la première lecture, tirée du premier livre des Rois, l'épisode connu comme le sacrifice du prophète Élie sur le mont Carmel, sont racontés à nouveau. À la lumière de ce récit, l'Église ukrainienne doit être « prophétique ».

Quand il n'y a plus de force pour prier, faire confiance à Dieu

«Ne perdez jamais la confiance et l'espérance en Dieu, surtout aujourd'hui, quand il semble que le mal ait le dessus, quand les horreurs de la guerre, la douleur des nombreuses victimes et les destructions massives sapent la foi en la bonté divine, quand les bras nous tombent et que nous n'avons même plus la force de prier».

Textes et photo extraits de VATICAN NEWS

 

 

 

Actualités

Angélus : le Pape prône le repos contre «la dictature du faire»

 

 

Revoir l'intégralité de l'Angélus du 21 juillet 2024

L’alliance du cœur et de la lenteur. Avant de réciter la prière mariale de l’Angélus, dimanche 21 juillet, place Saint-Pierre, le Pape a exhorté chacun à cultiver son désert intérieur au milieu du bruit et de l’affairisme quotidiens. Seule manière selon lui d’être présent pour son prochain, sous le regard de Dieu.

« Venez à l’écart dans un endroit désert, et reposez-vous un peu ». Méditant sur l’Évangile selon saint Marc de ce dimanche 21 juillet, qui reflète la compassion de Jésus devant la foule qui l’attendait « comme des brebis sans berger », le Souverain pontife est revenu sur ce binôme en apparence « inconciliable » formé par le repos et la compassion.

La compassion ne s'éprouve que le cœur reposé

Ce repos proposé par Jésus n'est pas une fuite du monde ou une retraite dans le bien-être personnel, a précisé le Successeur de Pierre, au contraire, face aux personnes perdues, il éprouve de la compassion. L'Évangile nous apprend donc que ces deux réalités -repos et compassion- sont liées : « ce n'est que si nous apprenons à nous reposer que nous pourrons avoir de la compassion ».

“Ce n'est que si nous apprenons à nous reposer que nous pourrons avoir de la compassion.”

Un tête-à-tête entre Dieu et soi-même

Et l’évêque de Rome d’interpeller fidèles et pèlerins de ce mois de juillet : « Est-ce que je sais m'arrêter au cours de ma journée ? Est-ce que je sais prendre un moment pour être avec moi-même et avec le Seigneur, ou est-ce que je suis toujours pris dans la course des choses à faire ?» En cette période estivale, François a donc exhorté chacun à trouver un peu de « désert » intérieur au milieu du bruit et des activités quotidiennes.

Textes et photo extraits de VATICAN NEWS

 

 

Actualités

Établissement Français du Sang : Sensibilisation don de sang, plasma, plaquettes

 

 Sensibilisation don de sang, plasma, plaquettes.

« La région PACA est une région où nous consommons énormément de produits sanguins mais nous n’arrivons pas à collecter suffisamment.

Nous dépendons donc de la générosité des autres régions pour soigner les malades et accidentés.

Or, cette année, est une année particulière, car la région Ile de France ne va pouvoir collecter comme à son habitude en raison des Jeux olympiques et paralympiques.

De plus, la période estivale marque une baisse de mobilisation des donneurs alors que les besoins, eux, sont en constante augmentation. 

Maison du don 3 rue Galléan, 06000 Nice

Ouverte tous les jours du lundi au samedi. 9h30 – 16h30 non-stop, sauf le jeudi de 11h à 18h.

Les collations et repas sont évidemment toujours en vigueur pour nos précieux donneurs. »

Texte et photo produits par Établissement Français du Sang 

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La Revue

La fresque de Sainte Rita

 

Le 22 mai de chaque année, nous célébrons la fête de Sainte Rita. Un reportage a été consacré à la fresque décorant un pan de mur de l'Oratoire de l'Église. 

Sophie a rencontré  Marianne Hervy auteure de ce quadriptyque relatant les épisodes de la « Sainte Patronne des causes perdues et des causes désespérées ».

Le reportage complet est à retrouver dans la Revue de Sainte Rita.

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