Monseigneur Michel Schooyans, prêtre catholique, professeur émérite et chercheur de l'université catholique de Louvain, nous a livré un texte où souffrance et compassion se côtoient, nous ouvrant, ainsi, tout grands les yeux de la Foi.
Marie, il nous arrive souvent de ne savoir que dire devant la souffrance. Que dire à une maman qui vient de perdre son enfant ? À une épouse dont le mari est paralysé à vie ? Comment parler à un malade en phase terminale ? Qu’allons-nous dire à un homme que sa femme vient d’abandonner ? Ou à un grand-père qui ne reçoit jamais la visite de ses enfants ?
Toi-même, dis-nous, qu’as-Tu bien pu dire à ton Fils ? Si l’Évangile est discret sur ce dialogue, c’est sans doute pour que nous apprenions de Toi le secret de la compassion.
Être là, près de celui qui souffre, être là présent d’une présence discrète, attentive et affectueuse. Être tout près pour partager sa douleur, pour lui dire qu’il n’est pas seul à porter sa croix, pour lui dire que l’épreuve n’ôte rien à sa dignité, qu’il a toujours le même prix aux yeux de Dieu et aux nôtres.
Mgr Michel Schooyans
"Des enfants qui ont des valeurs et des enfants qui ont de la valeur".
Sophie a rencontré Sylvie Venieris permanente de la structure niçoise Action Catholique des Enfants.
Un reportage où "le je" s'exprime à travers "le jeu".
Le reportage complet est à lire dans la Revue Sainte Rita du mois de Juin 2024
{jcomments on}
Padre Pio est un saint italien du XXème siècle. Il est fêté le 23 septembre.
Mystique et thaumaturge, il a écrit de nombreuses prières, notamment à la Vierge Marie et à son ange gardien avec lequel il entretenait une relation forte.
La beauté intérieure des églises et leurs trésors laissent rarement indifférent, observe notre chroniqueur Jean-Étienne Rime. Un vitrail, une statue ou un chapiteau peuvent créer des liens entre visiteurs avertis et touristes curieux : avec notre concours, l’art sacré peut créer du dialogue et poursuivre son œuvre d’évangélisation.
Cet été, certains sont sportifs, d’autres se contentent de la plage et d’autres encore visitent les merveilles de notre pays avec un appétit culturel évident et beaucoup se partagent entre ces différentes activités. Pour eux, la France offre des lieux d’exploration quasi infinis et les sites, monuments, œuvres d’art issus de notre patrimoine chrétien forment un tout essentiel, inévitable pour les laïques militants, indispensable pour les amateurs d’histoire et d’art. En cette période de vacances alors que du temps se libère, l’art sacré nous parle ainsi que sa raison d’être : l’appel à évangéliser.
L’art religieux nous appelle
Que seraient les paysages d’Europe sans l’art sacré ? Églises, cathédrales ou simples chapelle, dans la moindre commune (ou paroisse) l’on trouve une pietà, une conversion de saint Paul ou une Sainte Famille réalisée par un artiste célèbre ou anonyme. Ouvrons la porte d’un musée et si les thèmes sont variés, l’on ne manquera pas une œuvre religieuse de Rubens, de Courbet — qui pourtant n’était pas très religieux — ou de Matisse. Ces tableaux ou sculptures ont été commandés par des princes de sang ou d’Église, des fidèles de toutes conditions pour honorer des lieux de vie et de prière en les marquant de leur foi avec une œuvre qui dépasse le temps humain.
Aujourd’hui, l’art sacré reste une valeur sûre, achetée à prix d’or dans les maisons de ventes aux enchères et l’on peut même s’étonner de l’engouement du Louvre d’Abu Dhabi pour une représentation du Christ. Plus actuel que jamais, l’art religieux nous nous appelle à poursuivre la démarche de cette foule infinie de mécènes et de créateurs au service du Créateur.
Texte et photos extraits de ALETEIA
{jcomments on}
Lors de la messe au Timor oriental, François appelle à s’inspirer des petits.
Environ 600 000 personnes étaient réunies pour assister à la messe présidée par le Pape François à quelques kilomètres de la capitale timoraise ce mardi 10 septembre. Dans son homélie, le Saint-Père a réfléchi sur le plus beau don de Dieu, le don de son fils Jésus à l’humanité, qui invite chacun à se faire petit au milieu des petits.
Sous une chaleur écrasante, à 16h30 heure locale, le Pape a présidé la célébration de l’Eucharistie, entouré par près de la moitié de la population est-timoraise réunie sur la place de Taci Tolu.
Reprenant la première lecture tirée du livre d’Isaïe, le Saint-Père a d’abord médité sur la promesse de ce prophète, la naissance d’un enfant. À l’époque d’Isaïe, a rappelé le Pape, Jérusalem était riche matériellement mais pauvre spirituellement. Dressant un parallèle avec aujourd’hui, François a expliqué que dans un monde « où il y a un grand besoin de conversion, de miséricorde et de guérison », ce ne sont ni les armes, ni les troupes ni l’argent, mais bien la naissance d’un enfant qui vient ouvrir « un avenir d’espérance et de joie »
Dieu se fait proche par un enfant
Ensuite, inspiré par l’Évangile de l’Annonciation lu au cours de la messe, dans lequel Marie apprend qu’elle va devenir la mère du Sauveur, le Saint-Père a évoqué la joie qui existe partout dans le monde lorsqu’un enfant nait. Une joie simple et universelle, qui cache un amour encore plus grand, celui de Dieu, a-t-il assuré.
“La proximité de Dieu passe par un enfant, Dieu se fait enfant, et ce n'est pas pour nous étonner ou nous émouvoir, mais pour nous ouvrir à l'amour du Père et nous laisser façonner par lui, pour qu'Il puisse guérir nos blessures, régler nos différends, mettre de l'ordre dans l'existence.”
Texte et photo extraits de Vatican News
{jcomments on}
BIENVENUE SUR NOTRE BOUTIQUE SAINTE RITA
Tous nos prix sont indiqués TTC et frais de port compris pour la France métropolitaine, Monaco et Andorre.
Pour les autres destinations, les frais de ports sont en suppléments et sont calculés lorsque vous passez votre commande.