Pour soutenir leur quartier et montrer qu’elles ne baissent pas les bras face à la pandémie, des religieuses de la ville de Valladolid (Espagne) ont effectué une chorégraphie sur l’air de « Resistiré », chanson phare du confinement.
Ces religieuses ont une pêche incroyable. Loin des cantiques d’Église que l’on aurait pu imaginer, ces sœurs missionnaires de Santo Domingo qui vivent dans une résidence universitaire de Valladolid (nord-ouest de l’Espagne) interprètent « Resistiré » (« Je vais résister ») avec une énergie revigorante. Cette chanson espagnole interprétée pour l’Eurovision 1988 par Manuel de la Calva et Ramón Arcusa est devenue l’hymne du pays de Cervantes contre l’épidémie de covid-19, reprise durant la quarantaine par une pléiade d’artistes. Il faut dire que les paroles paraissent plutôt adaptées à la période. « Je résisterai pour continuer à vivre, je supporterai les coups et je ne me rendrai jamais, et même si mes rêves sont brisés, je résisterai, je résisterai », disent-elles.
Tu as donné ta vie, comme du pain posé sur la table, mis en morceaux et distribué pour que chacun, tendant la main et le cœur, puisse en recevoir et s’en nourrir.
Jésus,
Toi l’Innocent,
Tu t’es laissé condamner sans te défendre,
Je te prie pour tous ceux
qui sont victimes de l’injustice et de la haine.
Toi, qui t’es chargé de ta Croix
sans un mot de révolte,
Je te prie pour tous ceux qui sont écrasés
sous le poids de leurs souffrances.
La semaine sainte est une période sacrée du calendrier liturgique car au cours de cette semaine de nombreuses prophéties bibliques se sont accomplies. Elle nous permet de remémorer les évènements qui ont eu lieu avant la mort de Jésus.