Comment nous aider ?

Vous appréciez la Revue Sainte Rita ?Vous appréciez le Site internet Sainte Rita-Nice ?Vous appréciez les tâches d’évangélisation auxquelles se dédient les Oblats en France et dans le monde ? Vous pouvez nous aider et il y a plusieurs façons de le faire : Prier pour nous Nous croyons en la force de la prière. Avec nos abonnés à la Revue, les visiteurs du Site internet et les fidèles qui viennent à la Chapelle, nous formons une grande famille où nous prions les uns pour les autres. Vous pouvez grandement aider notre Congrégation en priant pour que l’Esprit Saint nous donne sa lumière et sa force pour accomplir fidèlement notre mission d’évangélisation. Le troisième jeudi de chaque mois une messe est célébrée en l’Eglise Sainte Rita pour la Congrégation des Oblats et pour tous ses bienfaiteurs vivants et défunts. Prière à Sainte Rita. Prière pour la béatification du Père Lanteri. Faire un don Les dons que vous faites, même minimes, constituent un précieux soutien pour les tâches qu’accomplissent les Oblats dans le monde : missions, œuvres humanitaires, ministère pastoral et toute autre activité au service de l’évangélisation en France et dans le monde. En savoir plus sur les activités des Oblats. Faire un don pour soutenir nos Œuvres. S’abonner à la Revue Sainte Rita Le simple fait de vous abonner à la Revue Sainte Rita, d’abonner une personne que vous croyez susceptible de l’apprécier, ou même simplement de faire connaître la Revue autour de vous est une aide à notre mission d’évangélisation. La Revue a besoin d’abonnés pour vivre ! Vous pouvez aussi offrir un abonnement « de soutien » ou « bienfaiteur », qui permet à des personnes dans la précarité de recevoir la Revue gratuitement. En savoir plus sur la Revue Sainte Rita. S’abonner ou abonner une autre personne. Faire célébrer une messe Les offrandes de messes contribuent au soutien des prêtres Oblats à travers le monde. Outre les messes célébrées dans nos églises Sainte Rita à Nice ou à Fontenay-aux-Roses, beaucoup d’offrandes sont transmises à nos confrères prêtres qui, dans leur région, ne reçoivent pas d’intentions de messe. Offrir une messe est un moyen de les soutenir dans leur mission. En savoir plus sur l'offrande de messes. Faire célébrer une messe. Inscrire des personnes à la Fondation des messes perpétuelles et quotidiennes Chaque matin dans l’église Sainte Rita à Nice la messe est célébrée à l’intention de tous les inscrits. L’offrande versée en inscrivant une personne aux messes perpétuelles sert au soutien de la Congrégation des Oblats de la Vierge Marie et de ses œuvres missionnaires et humanitaires. En savoir plus sur la Fondation des messes perpétuelles et quotidiennes. Inscrire une ou plusieurs personnes. Offrir une Bourse d’études pour nos séminaristes Vous pouvez soutenir une vocation Oblate d’abord et avant tout par votre prière. Mais vous pouvez aussi l’aider en offrant une Bourse d’études. Les offrandes reçues à ce titre sont entièrement réservées et versées pour nos séminaristes. Le montant de cette Bourse complète est fixé à 200 €. Les Bourses d’études ne sont pas nominatives (pour tel séminariste) mais sont remises à nos Maisons de formation. En savoir plus sur nos séminaristes. Prière pour les vocations oblates. Offrir une Bourse d’études. La Boutique Sainte Rita En achetant des livres ou des objets religieux dans notre boutique en ligne, vous contribuez au soutien de notre communauté religieuse et des œuvres des Oblats en général. Les profits générés par la Boutique sont versés à la Congrégation et servent à soutenir sa vie, sa mission et ses œuvres. Visiter notre Boutique Sainte Rita.  Faire un don par legs ou assurance vie Certaines personnes, accompagnées par la Revue durant toute leur vie ou ayant reçues de grandes grâces par l’intercession de Sainte Rita désirent exprimer leur reconnaissance en faisant un don par legs ou assurance-vie, aux Œuvres de Sainte Rita. Rappelons que la messe du troisième jeudi de chaque mois célébrée en l’église Sainte Rita à Nice inclut une intention pour tous les bienfaiteurs vivants ou défunts. Plus d’informations, contactez-nous.

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Quo cognito Constantius ultra mortalem modum exarsit ac nequo casu idem Gallus de futuris incertus agitare quaedam conducentia saluti suae per itinera conaretur, remoti sunt omnes de industria milites agentes in civitatibus perviis. Quam ob rem circumspecta cautela observatum est deinceps et cum edita montium petere coeperint grassatores, loci iniquitati milites cedunt. ubi autem in planitie potuerint reperiri, quod contingit adsidue, nec exsertare lacertos nec crispare permissi tela, quae vehunt bina vel terna, pecudum ritu inertium trucidantur. Cuius acerbitati uxor grave accesserat incentivum, germanitate Augusti turgida supra modum, quam Hannibaliano regi fratris filio antehac Constantinus iunxerat pater, Megaera quaedam mortalis, inflammatrix saevientis adsidua, humani cruoris avida nihil mitius quam maritus; qui paulatim eruditiores facti processu temporis ad nocendum per clandestinos versutosque rumigerulos conpertis leviter addere quaedam male suetos falsa et placentia sibi discentes, adfectati regni vel artium nefandarum calumnias insontibus adfligebant. Eminuit autem inter humilia supergressa iam impotentia fines mediocrium delictorum nefanda Clematii cuiusdam Alexandrini nobilis mors repentina; cuius socrus cum misceri sibi generum, flagrans eius amore, non impetraret, ut ferebatur, per palatii pseudothyrum introducta, oblato pretioso reginae monili id adsecuta est, ut ad Honoratum tum comitem orientis formula missa letali omnino scelere nullo contactus idem Clematius nec hiscere nec loqui permissus occideretur. Non ergo erunt homines deliciis diffluentes audiendi, si quando de amicitia, quam nec usu nec ratione habent cognitam, disputabunt. Nam quis est, pro deorum fidem atque hominum! qui velit, ut neque diligat quemquam nec ipse ab ullo diligatur, circumfluere omnibus copiis atque in omnium rerum abundantia vivere? Haec enim est tyrannorum vita nimirum, in qua nulla fides, nulla caritas, nulla stabilis benevolentiae potest esse fiducia, omnia semper suspecta atque sollicita, nullus locus amicitiae.