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  Ô Dieu, ton don le plus grand est l’amour.Dieu tout puissant, nous élevons nos cœurs vers toi en implorant ta miséricorde. Aide-nous, tes enfants, dans ce monde de souffrance, de douleur et d’injustice. Nous nous tournons vers toi en ces moments pénibles en demandant de l’aide pour nos frères et sœurs, victimes de la violence sous toutes ses formes. Nous nous sentons impuissants devant leur besoin d’aide.

Sans l’Esprit Saint, Dieu est loin, le Christ reste dans le passé, l’Évangile est une lettre morte, l’Église une simple organisation l’autorité une domination, la mission une propagande, le culte une évocation, et l’agir chrétien une morale d’esclave. Mais en lui :
 le cosmos est soulevé et gémit dans 
l’enfantement du Royaume, le Christ ressuscité est là, l’Évangile est puissance de vie, l’Église signifie la communion trinitaire, l’autorité est un service libérateur, la mission est une Pentecôte, la liturgie est mémorial et anticipation, l’agir humain est déifié. Métropolite Ignatios de Lattaquié, Primat de l’Église orthodoxe en Syrie, au Liban et au Koweit.
Paru dans la revue Prier n°291, mai 2007. 2 commentaires

Esprit-Saint, tu as été envoyé par le Père au nom de Jésus afin d'être une présence constante dans l'Église. Aide-nous à être attentifs à ta présence dans nos vies ; puissions-nous être ouverts à cette présence dans ceux qui nous entourent. Remplis nos vies de tes dons et fais de nous des canaux de ta paix et de ta justice. Que nos actions en amènent d'autres à se rapprocher de Jésus. Guide-nous et remplis-nous d'espérance maintenant et toujours. Amen.   (Extrait de : "Prières pour la Journée mondiale de la jeunesse 2002", p. 90)

  Que notre prière se tourne vers l’Esprit Saint que Jésus nous a promis comme un don, mais qu’il faut aussi invoquer, demander, accueillir dans notre cœur et dans le quotidien de nos vies. Viens Esprit de sainteté ! Viens Esprit de Lumière ! Sans toi, rien n’est saint… Attentifs à ta présence...

    Je crois en Toi, Seigneur ressuscité Rendons grâce au Seigneur del’univers en cette Nuit de Pâques 

  Seigneur,Tu sais combien nous vivons à la surface de nous-mêmes,distraits par les urgences,endormis par les habitudes,anesthésiés par l’avalanche des mots et des images... 1 commentaire

  Fais-nous entendre, notre Père,ton appel à la justicequi ne tient compte d’aucun privilègeet donne à chacun sa juste part ! Fais-nous entendre, notre Pèreton appel à la solidaritéqui redresse les derniers et les affamésdans leur digne stature humaine !

  Jésus, Marie et Joseph,en vous nous contemplons la splendeur de l’amour véritable,à vous nous nous adressons avec confiance. Sainte Famille de Nazareth,fais aussi de nos familles des lieux de communion et des cénacles de prière,des écoles authentiques de l’Évangile et des petites Églises domestiques. 1 commentaire

  Prenons le temps de la lenteur avec ce texte inspirant du Père Guy Gilbert. Notre monde est fou. Tout va trop vite. Pas seulement les transports, les moyens de communication et les nouvelles technologies. On ne mange même plus, on bouffe dans de la restauration rapide. On ne parle plus, on jacasse sans arrêt. Les couples n’ont pas le temps de s’écouter. Une information-marchandise chasse la précédente. Nous sommes des clients butineurs. On ne regarde pas, on zappe. On ne vit pas, on survit. Il est urgent de prendre le temps de la lenteur. Refuse la précipitation, garde du temps pour toi, conserve-le jalousement. Tu apprendras que le monde est magnifique si tu sais l’écouter et le contempler ; que la nature apporte de la joie si on la respecte et qu’on collabore avec elle ; que les humains sont passionnants, qu’ils méritent notre attention, au sein de la famille, au travail, dans le cercle de nos amis… Et tu apprendras aussi à t’écouter, à te valoriser, à t’aimer, tu rechercheras la bonté et la douceur. Alors, aie de la bienveillance pour toi-même, et goûte à la beauté du monde ! Père Guy Gilbert

Education Rita, alors qu’elle était enfant, reçut une éducation qui ne se limitait certainement pas à l’apprentissage du catéchisme et des prières qu’elle récitait sûrement avec beaucoup de ferveur. La fille d’Antoine et Aimée Lotti reçut une instruction supérieure à la majorité des femmes de son époque. Elle savait lire et écrire et connaissait le latin. Petite, Rita s’instruisait sur un grand « livre d’images » : les tableaux, vitraux, statues contenus dans l’église du village. Tout contribuait à éveiller son intelligence et son cœur. Un sujet cependant dominait les autres : le Crucifix.

Le miracle des abeilles Rita et le miracle des abeilles.Fresque de la petite chapelle de Roccaporena Le père de Rita se nommait Antoine Lotti et son épouse Aimée Ferri. On les avait surnommés les « pacificateurs » ou les « porte-paix » de Jésus. Leur fille aurait de qui tenir. Mais durant des années une douleur secrète troubla leur joie tranquille : ils n’avaient pas d’enfant. Ils avaient bien des fois adressé à Dieu leurs prières les plus ardentes à ce sujet. Voici qu’au moment où ils n’y croyaient plus, l’inattendu se produisit, Dieu envoya un enfant à ces époux avancés en âge : une petite fille. Elle reçut à son baptême, en l’église Sainte Marie de la Plèbe à Cascia, le nom de « Margarita ». Mais elle fut connue sous le nom de « Rita », diminutif familier qu’on lui donna toute sa vie.

  Seigneur notre Dieu, Douze personnes sont mortes, d’autres blessés, d’autres traumatisés Victimes de la violence barbare. Dans mon cœur des sentiments d’effroi, de tristesse, de colère, Un flot d’émotions trop fortes. On se sert de ton nom, Seigneur, pour tuer. Ne permet pas cela ! 3 commentaires