Suivi par près de 400.000 abonnés sur YouTube et 99.000 followers sur Instagram, le frère Paul-Adrien, dominicain, va mettre sa notoriété au service des chrétiens d’Arménie. Il s’est envolé pour la patrie de Noé le 19 juillet pour mieux connaître ce pays mais surtout pour vivre lui-même une expérience humanitaire auprès des religieux sur place dans des camps d'été pour orphelins ou des enfants victimes de la récente guerre au Haut Karabagh, au cœur de l'une des missions de l'Aide à l'Église en Détresse (AED).
Sur les réseaux sociaux, il fait partie des influenceurs catholiques incontournables. Prêtre et dominicain, le frère Paul-Adrien est aujourd’hui suivi par près de 400.000 abonnés sur YouTube et 99.000 personnes sur Instagram qui viennent y chercher des réponses à des questions de foi, un commentaire de l’actualité chrétienne ou simplement quelques conseils pour mieux vivre sa foi au quotidien. Chacune de ces courtes vidéos est virale. Mais cet été, le frère Paul-Adrien a décidé de sensibiliser sa communauté au sort des chrétiens d’Arménie et aux missions que l’Aide à l’Église en Détresse (AED) remplit sur place. Pendant trois semaines, du 19 juillet au 10 août, le Paul-Adrien se trouve en Arménie, plus précisément au nord d’Erevan, la capitale, à 2.000 mètres d’altitude. Là-bas la communauté des sœurs arméniennes de l’Immaculée Conception, seule congrégation catholique arménienne, accompagne des enfants de 8 à 13 ans dont des réfugiés du Haut-Karabagh et organise pour eux des camps d’été.
"C’est bien beau de parler de charité et d’aide aux plus démunis sur les réseaux sociaux, mais j’ai eu envie de mettre les mains ‘dans le cambouis’, de rencontrer ces chrétiens meurtris et d’aider celles et ceux qui font l’exercice concret de la miséricorde", confie-t-il volontiers à Aleteia. Dès le mois de décembre 2023, contact est pris avec l’AED afin d’affiner un projet. "La première idée était de participer à un camp de jeunes avec des sœurs afin d’aider les enfants réfugiés du Haut-Karabakh pour qu’ils aient des vacances", souligne l’influenceur. "Mais afin d’aider pleinement l’AED et pas seulement en donnant des cours, célébrant des messes ou faisant la vaisselle, nous avons décidé que ce voyage en Arménie sera aussi partagé sur Instagram avec des stories et des réels. Nous préparons aussi une vidéo longue que nous diffuserons à notre retour sur YouTube qui durera entre 25 et 50 minutes." Concrètement, l’AED prend en charge la logistique et gère l’itinéraire. L’équipe du dominicain, de son côté, "chauffe les réseaux" et, surtout, anticipe le long format. Et frère Paul-Adrien de reprendre : "C’est la partie noble du métier d'influenceur : en faisant des vidéos, des réels etc, on amène celui qui regarde à s’engager. Je ne me pose pas la question de savoir si cela va faire des vues mais si cela va pousser à s’engager à son tour."
Photo et texte extraits de Aleteia
La beauté intérieure des églises et leurs trésors laissent rarement indifférent, observe notre chroniqueur Jean-Étienne Rime. Un vitrail, une statue ou un chapiteau peuvent créer des liens entre visiteurs avertis et touristes curieux : avec notre concours, l’art sacré peut créer du dialogue et poursuivre son œuvre d’évangélisation.
Cet été, certains sont sportifs, d’autres se contentent de la plage et d’autres encore visitent les merveilles de notre pays avec un appétit culturel évident et beaucoup se partagent entre ces différentes activités. Pour eux, la France offre des lieux d’exploration quasi infinis et les sites, monuments, œuvres d’art issus de notre patrimoine chrétien forment un tout essentiel, inévitable pour les laïques militants, indispensable pour les amateurs d’histoire et d’art. En cette période de vacances alors que du temps se libère, l’art sacré nous parle ainsi que sa raison d’être : l’appel à évangéliser.
L’art religieux nous appelle
Que seraient les paysages d’Europe sans l’art sacré ? Églises, cathédrales ou simples chapelle, dans la moindre commune (ou paroisse) l’on trouve une pietà, une conversion de saint Paul ou une Sainte Famille réalisée par un artiste célèbre ou anonyme. Ouvrons la porte d’un musée et si les thèmes sont variés, l’on ne manquera pas une œuvre religieuse de Rubens, de Courbet — qui pourtant n’était pas très religieux — ou de Matisse. Ces tableaux ou sculptures ont été commandés par des princes de sang ou d’Église, des fidèles de toutes conditions pour honorer des lieux de vie et de prière en les marquant de leur foi avec une œuvre qui dépasse le temps humain.
Aujourd’hui, l’art sacré reste une valeur sûre, achetée à prix d’or dans les maisons de ventes aux enchères et l’on peut même s’étonner de l’engouement du Louvre d’Abu Dhabi pour une représentation du Christ. Plus actuel que jamais, l’art religieux nous nous appelle à poursuivre la démarche de cette foule infinie de mécènes et de créateurs au service du Créateur.
Texte et photos extraits de ALETEIA
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Lors de la messe au Timor oriental, François appelle à s’inspirer des petits.
Environ 600 000 personnes étaient réunies pour assister à la messe présidée par le Pape François à quelques kilomètres de la capitale timoraise ce mardi 10 septembre. Dans son homélie, le Saint-Père a réfléchi sur le plus beau don de Dieu, le don de son fils Jésus à l’humanité, qui invite chacun à se faire petit au milieu des petits.
Sous une chaleur écrasante, à 16h30 heure locale, le Pape a présidé la célébration de l’Eucharistie, entouré par près de la moitié de la population est-timoraise réunie sur la place de Taci Tolu.
Reprenant la première lecture tirée du livre d’Isaïe, le Saint-Père a d’abord médité sur la promesse de ce prophète, la naissance d’un enfant. À l’époque d’Isaïe, a rappelé le Pape, Jérusalem était riche matériellement mais pauvre spirituellement. Dressant un parallèle avec aujourd’hui, François a expliqué que dans un monde « où il y a un grand besoin de conversion, de miséricorde et de guérison », ce ne sont ni les armes, ni les troupes ni l’argent, mais bien la naissance d’un enfant qui vient ouvrir « un avenir d’espérance et de joie »
Dieu se fait proche par un enfant
Ensuite, inspiré par l’Évangile de l’Annonciation lu au cours de la messe, dans lequel Marie apprend qu’elle va devenir la mère du Sauveur, le Saint-Père a évoqué la joie qui existe partout dans le monde lorsqu’un enfant nait. Une joie simple et universelle, qui cache un amour encore plus grand, celui de Dieu, a-t-il assuré.
“La proximité de Dieu passe par un enfant, Dieu se fait enfant, et ce n'est pas pour nous étonner ou nous émouvoir, mais pour nous ouvrir à l'amour du Père et nous laisser façonner par lui, pour qu'Il puisse guérir nos blessures, régler nos différends, mettre de l'ordre dans l'existence.”
Texte et photo extraits de Vatican News
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Tableau de Rosa Sylvia Guibert (1951) Eglise de l'Annonciation Chapelle Sainte Rita, Nice
Sainte Rita, sainte des causes perdues et désespérées, vécut de 1381 à 1457.
Cinq siècles plus tard sa vie continue d’inspirer des millions de personnes à travers le monde. Une vie où se côtoient phénomènes mystiques et simplicité du quotidien, une vie chargée de grandes souffrances mais vécue dans la joie « d’aimer sans compter ».
Jeune fille Rita est déjà toute tournée vers Dieu. Mariée par obligation familiale à un homme rude, elle surmonte par sa douceur et sa patience les difficultés initiales de son mariage. Elle vit dix-huit années de bonheur avec l’homme dont elle aura deux enfants. Elle a 36 ans lorsqu’il est traîtreusement assassiné. Quelques temps plus tard, elle perd ses deux enfants.
Entrée au monastère elle s’immerge dans une intense vie de prière. Son union intime au Christ crucifié se manifeste par le stigmate de l’épine. Elle accueille tous ceux qui viennent demander son aide et sa prière.
Toute la vie de Sainte Rita respire l’amour de Dieu et la confiance totale en sa Providence.
Mourante, Rita demande à sa cousine d’aller lui cueillir une rose. Bien qu’en « plein hiver » la parente trouve la rose. Cet épisode est à l’origine de l’image où l’on voit Sainte Rita répandre des roses, symbole des grâces qu’elle obtient pour ceux et celles qui font confiance en l’intercession de « la sainte des causes désespérées et des cas impossibles. »
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