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Commémoration des fidèles défunts

Ce 2 novembre, le Père Patrice Véraquin, omv. Recteur du Sanctuaire Sainte Rita à Nice, nous invite à célébrer la commémoration des fidèles défunts dans un esprit de vie nouvelle et de retrouvailles futures. Prions pour eux avec cette magnifique Prière d’adieu pour un défunt ou inscrivons les à la « Fondation des Messes perpétuelles quotidiennes », dont les célébrations ont lieu chaque matin en notre Église Sainte Rita de Nice.

Ce que l’on découvre en récitant le chapelet

Sous la belle plume de Lorena Moscoso fleurissent les mots. Des mots simples venus du coeur qui rendent la prière facile, comme si s'égrenaient sous nos doigts des scènes de la vie du Christ. La récitation des dizaines du chapelet est un chemin d’accès privilégié à Jésus. Le rosaire est une prière vivante. Comme si l’on s’asseyait à table avec Marie pour parler de son Fils. Plus l’on prend l’habitude de le réciter, plus il devient nécessaire, plus on se l’approprie et plus il adoucit l’âme.C’est un sublime présent que la Vierge nous a offert pour nous rapprocher du Christ. Elle sait combien il est difficile de contempler les choses du Ciel à partir de notre humanité limitée. La Vierge sait aussi, combien il est indispensable de garder en vue la présence divine dans nos vies. Le rosaire est la main de Marie qui nous guide et nous montre comment graver le Christ dans notre cœur. Par cette prière, nous découvrons aussi la méditation, puisque nous contemplons la vie du Christ, et surtout, nous vivons tous ces instants en notre for intérieur. Au milieu de la récitation du chapelet, surgissent souvent, en nous, des questionnements et des révélations : pourquoi le Christ, pourquoi Dieu, pourquoi l’Esprit saint, pourquoi le sacrifice, pourquoi la douleur… Il est merveilleux de constater combien chaque scène de la vie du Christ nous touche et concerne notre vie personnelle. La réponse ultime et définitive qui jaillit en nous, c’est l’amour du père pour toute l’humanité, l’amour, toujours l’amour… Avant de commencer à réciter le chapelet, le rosaire entre les mains, il ne faut pas hésiter à s’adresser à la Sainte Vierge : « Marie, montre-moi ton Fils ». Marie est notre mère à tous, elle seule connaît mieux que quiconque son propre Fils. Laissons-là nous prendre la main et dévoiler en notre cœur tout le Mystère du Christ. En effet, contrairement à ce que l’on croit souvent, le rosaire n’est pas une louange à Marie mais un chemin vers le Christ. Chaque dizaine en revanche, est l’occasion de méditer un mystère de la vie du Christ. Pendant que nous égrenons les dix « Je vous salue Marie », nous nous plongeons dans un seul mystère. Ces scènes de la vie du Christ que nous parcourons avec le rosaire — l’annonciation de l’Ange à Marie, la naissance de l’Enfant Jésus, le baptême de Jésus dans le Jourdain, la Transfiguration, la dernière Cène, l’agonie du Seigneur, la Crucifixion, la Résurrection et la venue de l’Esprit Saint… — combien de richesse et de dévotion dans ces grains qui se succèdent ! Comment ne pas ressentir tout l’amour du Père ! En priant le rosaire avec toute la dévotion de votre cœur, accueillez avec ferveur chaque mystère de la vie du Christ, comme si Marie vous le confiait entre les mains. Lorena Moscoso 12 commentaires

Dieu et mon porte-monnaie…

Quand nous rencontrons des soucis d’argent, des problèmes financiers, nous pouvons les présenter avec confiance à Dieu dans nos prières. Il prend soin de nous et sait entendre nos besoins matériels. Mais au-delà des moments où nous pouvons manquer du nécessaire, pensons-nous à inviter Dieu dans notre porte-monnaie ? Osons-nous lui demander de jeter un œil sur notre gestion financière ? Notre rapport à l’argent n’est pas toujours simple et il peut cacher bien des peurs, bien des blessures, bien des croyances qui nous empêchent de vivre sereinement. Avec l’aide de son Esprit, nous pouvons nous demander ce que représente l’argent pour nous, la place qu’il occupe dans nos vies, notre rapport au don, aux plus démunis. De nombreux versets de la Bible nous y aident ; en voici quelques-uns : “Que votre conduite ne soit pas inspirée par l’amour de l’argent : contentez-vous de ce que vous avez, car Dieu lui-même a dit : Jamais je ne te lâcherai, jamais je ne t’abandonnerai.” (Hébreux 13, 5) “Fortune trop soudaine s’évanouira ; qui amasse peu à peu la verra grossir.” (Proverbes 13, 11) “Rends gloire au Seigneur avec tes biens, donne-lui les prémices de ton revenu : tes greniers se rempliront de blé, le vin nouveau débordera de tes cuves” (Proverbes 3, 9-10) “Nul ne peut servir deux maîtres : ou bien il haïra l’un et aimera l’autre, ou bien il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l’Argent.” (Matthieu 6, 24) “Gardez-vous bien de toute avidité, car la vie de quelqu’un, même dans l’abondance, ne dépend pas de ce qu’il possède.” (Luc 12, 15) Demandons à Dieu la sagesse nécessaire pour que, dans nos vies, ce que nous recevons (car “As-tu quelque chose sans l’avoir reçu ?” (1 Corinthiens 4,7)) soit toujours accueilli comme une bénédiction pour nous et pour notre prochain. Alice Ollivier pour Hozana.org 2 commentaires

Vidéo de l’intention de prière du Pape - Octobre 2023

Prions pour l’Église, afin qu’elle adopte l’écoute et le dialogue comme style de vie à tous les niveaux, en se laissant guider par la force de l’Esprit Saint vers les périphéries du monde. Octobre est un mois spécial pour toute l’Église, qui célèbre à Rome son Assemblée synodale. Et, « lorsqu’une Église est en Synode », nous rappelle le Pape, « cette dynamique synodale ne peut qu’être portée par la vocation missionnaire ». « La mission est au cœur de l’Église », poursuit François dans la vidéo qui accompagne son intention de prière, réalisée et produite par le Réseau Mondial de Prière du Pape. « Par la prière et le discernement, l’Esprit Saint nous aide à réaliser l’apostolat de l’oreille, c’est-à-dire à apprendre à écouter avec les oreilles de Dieu afin de pouvoir parler avec la parole de Dieu » : si le Synode est donc « un chemin », son but est de « rejoindre chacun, chercher chacun, accueillir chacun et impliquer chacun, sans exclure personne ». Ouvrons notre cœur et « prions pour l’Église, afin qu’elle adopte l’écoute et le dialogue comme style de vie » « La mission est au cœur de l’Église. Et plus encore. Lorsqu’une Église est en Synode, cette dynamique synodale ne peut qu’être portée que par la vocation missionnaire, à savoir, la réponse au commandement de Jésus de proclamer l’Évangile.Je voudrais vous rappeler qu’il ne s’agit pas de la fin du chemin, mais plutôt de la poursuite d’un chemin ecclésial.C’est un chemin que nous parcourons, comme les disciples d’Emmaüs, en écoutant le Seigneur qui vient toujours parmi nous.Il est le Seigneur de la surprise.Par la prière et le discernement, l’Esprit Saint nous aide à réaliser « l’apostolat de l’oreille », c’est-à-dire à écouter avec les oreilles de Dieu afin de pouvoir parler avec la parole de Dieu.Nous nous rapprochons ainsi du cœur du Christ, d’où naît notre mission et la voix qui nous attire à Lui.Une voix qui nous révèle le cœur de la mission, qui est de rejoindre chacun, chercher chacun, accueillir chacun et impliquer chacun, sans exclure personne.Prions pour l’Église, afin qu’elle adopte l’écoute et le dialogue comme style de vie à tous les niveaux, en se laissant guider par la force de l’Esprit Saint vers les périphéries du monde. ». Textes extraits de la chaîne YouTube "La Video du Pape"

Le 1er jeudi du mois pour les vocations sacerdotales

Aujourd'hui 5 octobre, premier jeudi du mois, le Père Patrice Véraquin, omv, Recteur du Sanctuaire Sainte Rita Nice, vous invite à prier pour les vocations sacerdotales. Ce dimanche 8 octobre à 11h au Sanctuaire Sainte Rita de Fontenay-aux-Roses, aura lieu l'ordination sacerdotale de Guillaume Charbonneau, omv. Visionner la célébration de l'ordination sur la chaîne Youtube du Sanctuaire de Fontenay-aux-Roses

Mois du Rosaire : prier facilement le chapelet

  Le mois d’octobre est le mois du Rosaire. Cette prière qui se récite avec un chapelet est une prière magnifique, recommandée par de nombreux saints et papes, comme le pape Pie IX qui nous dit que « C'est le Rosaire qui sauvera le monde. » Si le principe en est très simple (réciter des Je vous Salue Marie et des Notre Père au rythme des grains du chapelet), cette prière - par sa longueur notamment - peut parfois faire peur ou sembler rébarbative. Saint Louis-Marie Grignion de Monfort et Pauline Jaricot nous donnent 3 bons conseils pour se lancer : - Donner du sens en portant une intention de prière. Il ne s’agit pas de réciter pour réciter. Il s’agit de confier une intention à la Vierge Marie afin qu’elle prie le Seigneur avec nous. Pensons bien, avant chaque dizaine, à énoncer une intention particulière pour nous, nos proches ou pour le monde ou demander les grâces associées à chaque mystère du Rosaire. - Prendre son temps, mettre des silences dans notre récitation, pour bien vivre ce temps de prière. Saint Louis-Marie nous le dit, si nous avons peu de temps, “une dizaine, dite ainsi posément, vous sera plus méritoire que des milliers de Rosaires récités à la hâte, sans réfléchir ni s'arrêter.” - Partager. C’est la grande et belle intuition de Pauline Jaricot qui créa les groupes de Rosaire Vivant. Chaque priant s’engage à réciter une partie du chapelet et c’est l’ensemble du groupe qui offre ainsi chaque jour un Rosaire à la Vierge Marie. Des groupes de prière du chapelet existent dans les paroisses mais maintenant des outils permettent également d’accompagner chacun dans cette pratique, quelle que soit son expérience du chapelet. C’est le cas de Rosario, application gratuite, développée sur le principe du chapelet vivant pour une pratique du rosaire simple et fraternelle. Cette application permet de créer un groupe de 5 personnes dont chacun reçoit chaque jour un mystère du rosaire. Avec un rappel quotidien, chacun offre ainsi 5 minutes de sa journée pour le méditer en récitant une dizaine. À la fin de la journée, le groupe aura, ensemble, prié un chapelet entier se portant mutuellement dans la prière. Alice Ollivier pour Hozana.org

Anges et Archanges

L’Église fête le 29 septembre les archanges Michel, Gabriel et Raphaël, et les anges gardiens le 2 octobre. Découvrez une belle prière dédiée : Prière aux Saints Archanges Pour en savoir plus sur leurs vertus, deux textes inspirants sont à votre disposition : Les archanges : avec nous, dans les moments décisifs et Les saints archanges, bien plus que des messagers de Dieu. Que sont les anges ? On les représente ailés, de blanc vêtus, lumineux. Ils peuplent notre imaginaire collectif, l’art religieux, nos représentations de l’au-delà. Mais, pour les catholiques, les anges ne sont pas du folklore ou de la littérature fantastique. Au contraire, l’Église professe comme une « vérité de foi » l’existence de ces êtres spirituels, dépourvus de corps physique, créatures et serviteurs de Dieu. « Le témoignage de l’Écriture est aussi net que l’unanimité de la Tradition », insiste, au sujet de leur existence, le catéchisme de l’Église catholique. Le Credo que récitent les fidèles catholiques à la messe y fait d’ailleurs allusion, en particulier le symbole de Nicée qui désigne Dieu comme le créateur « de l’univers visible et invisible ». Toujours à la messe, la prière de la Préface rappelle que les fidèles s’unissent au chœur des anges pour chanter le Sanctus.Pour les catholiques, les anges – dont le nom signifie « envoyé » ou « messager » – sont des créatures qui, puisque purement spirituelles, ont la capacité de voir et contempler Dieu en permanence. Le Catéchisme ajoute que les anges sont des créatures immortelles, et qui « dépassent en perfection toutes les créatures visibles ». Doués d’intelligence et de liberté, ils peuvent donc, comme les hommes, servir Dieu ou le rejeter. Ainsi de Satan, l’ange déchu, qui s’est révolté contre Dieu et a entraîné dans sa chute d’autres anges l’ayant suivi dans sa révolte. Qui sont les archanges ? La tradition catholique dénombre trois archanges : Michel, Gabriel et Raphaël. Tous trois sont fêtés chaque année le 29 septembre, et on leur associe traditionnellement le titre de « saints ». Si les trois sont cités dans l’Écriture, Michel est le seul à y être appelé « archange ». C’est au VIe siècle que le pape et docteur de l’Église saint Grégoire le Grand associe les trois noms et explique le rôle des archanges. « Il faut savoir que le mot “ange” désigne leur fonction : messager. Et on appelle “archanges” ceux qui annoncent les plus grands événements », écrit-il dans ses Homélies sur l’Évangile.Chacun des trois archanges a une fonction propre. Michel (son nom signifie « qui est comme Dieu ») est le chef des armées céleste. Dans l’Apocalypse, c’est lui qui mène la bataille contre le démon. « Il y eut alors un combat dans le ciel : Michel, avec ses anges, dut combattre le Dragon. Le Dragon, lui aussi, combattait avec ses anges, mais il ne fut pas le plus fort » (12, 7). De cette victoire annoncée viennent les représentations traditionnelles, dans l’art, de saint Michel terrassant un dragon. Gabriel (« Force de Dieu »), lui, est le messager de Dieu. C’est lui qui porte à Marie l’annonce de l’Incarnation. Enfin, le nom de Raphaël signifie « Dieu guéri », car c’est lui qui guérit Tobie de sa cécité (Tb 11, 17). Que dit l’Église des anges gardiens ? Un ange spécialement attaché à chacun d’entre nous, pour veiller sur nous et nous protéger. Là encore, l’existence des anges gardiens est une vérité pour l’Église, qui les fête d’ailleurs chaque année le 2 octobre. Cette doctrine trouve ses origines dans une parole du Christ (Matthieu 10,18) : « Gardez-vous de mépriser un seul de ces petits, car, je vous le dis, leurs anges dans les cieux voient sans cesse la face de mon Père qui est aux cieux ». Les catholiques sont d’ailleurs souvent encouragés à entretenir, par la prière, une relation avec leurs anges gardiens.Ces dernières années, le pape François a lui-même rappelé plusieurs fois l’existence de ces anges gardiens, qu’il compare à un « compagnon de voyage ». « Ce n’est pas une doctrine un peu fantaisiste sur les anges  : non, c’est la réalité », avait-il déclaré en 2014, dans son homélie le jour de la fête des anges gardiens. Et en 2015, lors de cette même fête, il déclarait encore : « Il est comme un ambassadeur de Dieu avec nous. Et le Seigneur nous dit : ”Ayez du respect pour sa présence !” Quand nous faisons un mal et nous pensons que nous sommes seuls : non, il est là. (…) Le chrétien doit être docile à l’Esprit Saint. La docilité à l’Esprit Saint commence avec cette docilité aux conseils de ce compagnon de chemin. » Gauthier VAILLANTTiré du site La Croix 7 commentaires

Place aux anges !

Le 29 septembre, l’Eglise fête saint Michel et les archanges. Quelques jours après, le 2 octobre, c’est la fête des saints anges gardiens. Ces deux fêtes sont l’occasion de nous poser la question de la place des saints anges dans nos vies. Avons-nous recours à eux ? Pensons-nous à leur confier nos prières ? Savons-nous nous laisser guider par eux ? Voici 4 citations de saints sur les anges pour nous aider à comprendre de quelle(s) manière(s) ceux-ci peuvent agir dans nos vies : “Si quelqu'un avait le bonheur de voir tomber le voile qui couvre ses yeux, il verrait avec quelle attention, avec quelle sollicitude les Anges se tiennent au milieu de ceux qui prient, au dedans de ceux qui méditent, sur le lit de ceux qui reposent, sur la tête de ceux qui gouvernent et qui commandent.” (saint Bernard de Clairvaux) “Aie confiance en ton Ange gardien. Traite-le comme un ami intime : il l'est. Il saura te rendre mille petits services dans les affaires ordinaires de chaque jour.” (saint José Marie Escriva) “Les Anges sont nos pasteurs ; non seulement ils portent à Dieu nos messages, mais ils nous apportent aussi ceux de Dieu. Ils nourrissent nos âmes de leurs douces inspirations et des communications divines ; en bons pasteurs, ils nous protègent et nous défendent contre les loups, c'est-à-dire contre les démons.” (saint Jean de la Croix) “[...] notre faiblesse, si des anges gardiens ne lui avaient été donnés, ne pourrait résister aux attaques nombreuses et puissantes des esprits célestes. Elle avait besoin pour cela de l'aide d'une nature supérieure. Nous savons qu'il en est ainsi par les paroles avec lesquelles le Seigneur fortifie Moïse tremblant et craintif : "Mon ange te précédera".” (saint Hilaire) Profitons de ces fêtes pour apprendre à mieux connaître ces esprits célestes et leur confier nos prières, à travers une neuvaine à saint Michel et aux neuf chœurs des anges ou une prière du matin à son ange gardien. Cela peut aussi être l’occasion de vivre de belles rencontres autour de ces événements avec Hozana ! Alice Ollivier pour Hozana.orgCrédit photos : Benjamín Dominguez, Cathopic

Fête du Saint Nom de Marie

La Fête du Saint Nom de Marie le 12 septembre est une fête liturgique catholique vécue comme un jour d'action de grâce. Le Père Patrice Véraquin, omv Recteur du Sanctuaire Sainte Rita, nous partage la vision du Père Lanteri, fondateur de la Congrégation des Oblats de la Vierge Marie.

Une reprise enthousiaste !

La rentrée arrive. Que ce soit avec le retour à l’école, la reprise des études ou du travail, le démarrage des activités diverses et variées, le mois de septembre demande une bonne dose d’énergie ! La prière peut nous aider à y faire face : En confiant nos diverses activités à Dieu car en effet, le psaume 126 (127) nous le rappelle, travailler en dehors de lui, est vain : “Si le Seigneur ne bâtit la maison, les bâtisseurs travaillent en vain ; si le Seigneur ne garde la ville, c'est en vain que veillent les gardes.” (Psaume 126 (127), 1). Alors chaque matin, dans une courte prière, pensons à offrir notre journée à Dieu ! En demandant au Seigneur de bénir ceux avec qui nous allons travailler : enseignants, camarades, collègues, clients… Dans des environnements de travail difficiles et compétitifs, son Esprit peut nous aider à construire des relations saines, respectueuses et à rester sur des chemins droits. Invoquons-le avant nos échanges importants ou avant une prise de décision délicate. En confiant chacune de nos difficultés à Dieu afin qu’elles ne soient pas source de peine et de découragement mais qu’elles portent des fruits. La Bible nous le rappelle à de nombreuses reprises, le travail, quel qu’il soit, quand il est fait dans l’amour et pour la gloire de Dieu, est un chemin de sanctification et permet d'œuvrer pour le Royaume. Bonne reprise ! Alice Ollivier pour Hozana.orgImage par StockSnap de Pixabay